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lundi 20 février 2017

Jérémie 26: 1-24 (PQ de 21/02/2017)

DIEU AURAIS CHANGE D’AVIS
Verset Clé 26: 3
Par la parole d’aujourd’hui, nous apprenons quel est le coeur de Dieu envers son peuple, quand il le juge.
1. Peut-être qu’ils écouteront (1-6)
Dieu dit à Jérémie de prononcer toutes les paroles sans rien y retrancher (Mt 5:18). Dieu espère que les gens les écouteraient. Alors Dieu qu’il regretterait le mal qu’il avait voulu faire. Jérémie dit toutes les paroles et transmet même cette volonté divine plus tard (3,13). Au contraire de cette promesse, Dieu promet aussi le conséquence néfaste au cas de leur désobéissance. Il le traitera comme Silo qui est détruite vers 1050 par les Philistines, quoi qu’elle soit ré-habitée à l’époque de Jérémie (41:5).
2. Jérémie en danger de mort (7-24)
Les leaders religieux ainsi que le roi et les ministres en veulent à la vie de Jérémie, car il dit le malheur du peuple. Ils s’attroupent autour de lui et crient : la mort ! Mais sans peur Jérémie parle de la sentence de mort du peuple, en exhortant de réformer leurs voies et agissements. Il n’a pas de peur de le dire, et prévient qu’il est vraiment envoyé par Dieu. Les leaders étudient l’histoire et tombent dans la contradiction, car l’un des prophètes du passé (Michée) a été sauvé et un autre (Ouriyahou) a été mis à mort. La vie d’un homme est au suspens de la volonté de Dieu, mais la mort ne signifie pas forcément la condamnation. Seulement les méchants hommes tuent les innocents et vont à l’enfer, comme leur récompense. Ahiqam est envoyé pour sauvegarder la vie de Jérémie, car il a encore la mission à accomplir. Comme Livingston dit, le serviteur ne mourra jamais avant qu’il finisse sa mission.
Prière : Seigneur, aide-moi à réformer ma vie, de peur que tu me juge. Fais moi ne pas craindre les hommes et dire toutes les paroles.
Un mot : Peut-être qu’ils écouteront..

1 commentaire:

  1. J'ai appris que d'une part le sort du serviteur est pendu à la main souveraine de Dieu et d'autre part il est conditionné par le caractère de l'homme, et enfin le deuxième dépendant du premier, tout venait de Dieu. En fin de compte, le serviteur de Dieu ne succombe jamais si Dieu ne le permet pas.

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