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dimanche 12 février 2017

Jérémie 20: 7-18 (PQ du 14/02/2017)

LA COMPLAINTE DE JEREMIE
Verset Clé 20:7
Après avoir prononcé la sentence de mort de l’inspecteur en chef de la maison de l’Eternel, Jérémie pleure de son sort malheureux.
1. Jérémie se confie à l’Eternel (7-12)
Dieu séduit (ou trompé) Jérémie. Déjà dès le début Jérémie s’y opposait, mais Dieu dit qu’il aurait l’autorité de la parole et ordonnait de marcher péremptoirement. Mais le résultat est si minable qu’il estime à juste titre que les grandes promesses lui semblent un leurre dont le but a été de l’amener à accepter la mission qu’il n’a jamais désiré. Mais Jérémie confesse que cette accusation audacieuse n’a pas d’effet, car Dieu est comme un feu dévorant (9). Il ne peut donc s’empêcher de dire Dieu, pour vivre ou survivre. Cela lui est une dilemme d’un appelé. Ils le raillent selon le nouveau nom de Pachhour (10a). Mais Jérémie a l’assurance que Dieu vaincra la méchanceté des hommes. Dieu est un héro puissant pour ceux qui font appel à lui. Seul il est juste (12).
2. Maudit soit le jour (13-18)
Ici, Jérémie loue l’Eternel, et exhorte les gens à chanter. La louange est libératrice. Les méchants perdent la place et fuient quand on entonne le chant. Que par notre Asaph, Dieu vient délivrer de beaucoup de liens en les hommes. L’assurance du prophète vacille, tant la menace de la mort est intense. Exposé chaque jour à la mort, il se lamente de son jour de naissance. Il maudit le jour, la nouvelle de sa naissance et le messager de la nouvelle. La souffrance du prophète a pour cause double, de voir constamment sa vie menacée et de voir le monde submergé dans le mal et la souffrance. T. Akempis veut aller pour cela au Seigneur ASAP.
Prière : Seigneur, Je parlerai de toi en m’appuyant sur toi qui est mon héros, car ta flamme me dévore et tu est celui qui me rend juste.
Un mot : Sens la brûlure en ton coeur et parle de lui, il est ton héros.

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