LA
COMPLAINTE DE JEREMIE
Verset
Clé 20:7
Après
avoir prononcé la sentence de mort de l’inspecteur en chef de la
maison de l’Eternel, Jérémie pleure de son sort malheureux.
1.
Jérémie se confie à l’Eternel (7-12)
Dieu
séduit (ou trompé) Jérémie. Déjà dès le début Jérémie s’y
opposait, mais Dieu dit qu’il aurait l’autorité de la parole et
ordonnait de marcher péremptoirement. Mais le résultat est si
minable qu’il estime à juste titre que les grandes promesses lui
semblent un leurre dont le but a été de l’amener à accepter la
mission qu’il n’a jamais désiré. Mais Jérémie confesse que
cette accusation audacieuse n’a pas d’effet, car Dieu est comme
un feu dévorant (9). Il ne peut donc s’empêcher de dire Dieu,
pour vivre ou survivre. Cela lui est une dilemme d’un appelé. Ils
le raillent selon le nouveau nom de Pachhour (10a). Mais Jérémie a
l’assurance que Dieu vaincra la méchanceté des hommes. Dieu est
un héro puissant pour ceux qui font appel à lui. Seul il est juste
(12).
2.
Maudit soit le jour (13-18)
Ici,
Jérémie loue l’Eternel, et exhorte les gens à chanter. La
louange est libératrice. Les méchants perdent la place et fuient
quand on entonne le chant. Que par notre Asaph, Dieu vient délivrer
de beaucoup de liens en les hommes. L’assurance du prophète
vacille, tant la menace de la mort est intense. Exposé chaque jour à
la mort, il se lamente de son jour de naissance. Il maudit le jour,
la nouvelle de sa naissance et le messager de la nouvelle. La
souffrance du prophète a pour cause double, de voir constamment sa
vie menacée et de voir le monde submergé dans le mal et la
souffrance. T. Akempis veut aller pour cela au Seigneur ASAP.
Prière :
Seigneur, Je parlerai de toi en m’appuyant sur toi qui est mon
héros, car ta flamme me dévore et tu est celui qui me rend juste.
Un
mot : Sens la brûlure en ton coeur et parle de lui, il est ton
héros.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire