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mardi 26 septembre 2017

Amos 2 :1-16 (PQ de 27/9/2017)

DIEU JUGE ISRAEL
Verset Clé 2 : 6
Le jugement des nations continue. Les peuples cousin de Moab et frère Juda sont sous le jugement, après quoi Amos parle du jugement de Dieu sur Israël. Dieu n’a pas de considération de personne. Mais remarquez les critères : pour les païens et cousins, le critère est leur attitude envers Israël, tandis que le critère pour Israël est la relation personnelle avec Dieu.     
1. Les jugements sur Moab et Juda (1-5)  
Moab est le peuple cousin d’Israël, l’autre descendant de Loth. Mais il y eut le conflit avec Edom, et pendant ce conflit fratricide, il brûla les os du roi, non incinération, mais l’attentat à la dignité de la créature. Donc, Dieu leur enverra le feu. Les grands seront tués. Ensuite, Dieu jugera Juda. La raison est parce qu’il rejetait la loi de l’Eternel. Le jugement de Juda aurait donné lieu au frémissement d’Israël, à cause du jugement divin aussi sévère qu’aux autres peuples.  
2. Le jugement sur Israël (6-15)
Le problème d’Israël est l’avidité. Ils vendent les justes et pauvres pour une petite chose matérielle qui ne vaut rien. Ralliés avec l’idolâtrie, leur mode de vie est très charnel et luxurieux. Ils sont odieux pour que le père et le fils aient la même maîtresse. Dieu va les juger. Mais Dieu jugeant Israël de façon différente que d’autres peuples, même Juda. Il rappelle la faveur envers Israël dans l’histoire. Malgré l’apparence douce, ce rappel a pour but de faire ressortir leur double culpabilité, la circonstance aggravante. Quelle était la grâce spéciale et insupportable pour Israël. Dieu le fit sortir d’Egypte avec sa main puissante. Il le rendit victorieux sur les races invincibles comme les Amalécites dont la force était redoutable (9). Non seulement cela, Dieu le bénissait aussi en envoyant les prophètes et suscitant les hommes consacrés, mais il les traitait en pêle-mêle comme lui semblait bon. Il séduit les gens pour ne pas vivre une vie sainte, et empêchait les serviteurs prophétiser. S’ensuit la description du jugement qui ne peut se comprendre que comme empruntées au phénomène terrible d’un tremblement de terre (cf. 1 :1b) : le sol craque comme sous le chariot pesamment chargé ; chacun cherche à s’enfuir, mais en vain.


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