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mardi 26 septembre 2017

Amos 3 :1-15 (PQ 28/9/2017)

JE VOUS DEMANDERAI COMPTE
Verset Clé 3 : 2
2e partie du livre composé des Ch. 3-6 voir commencer à chaque chapitre « écoutez cette parole. » Chacune de ces sections renferme le sommaire d’une des prédications d’Amos, probablement à Bethel.
1. Le lion rugit, qui ne serait effrayé (1-8)  
D’abord, Amos parla du lien particulier qui unit Israël à son Dieu et ne fit que le rendre plus coupable (1-2). Plus Dieu a été tendre pour son peuple, la circonstance devint plus aggravante, vu la multiplicité des méchancetés. Ensuite, Amos parla de divers exemples propres à montrer que les calamités qui frappèrent Israël n’étaient pas accidentelles, mais qu’elles venaient de Dieu, qui en instruisit d’avance ses prophètes (7). 7 longues illustrations nous semblent montrer « pas d’effet sans cause. » (en cas d’effet –jugement- il y a toujours cause -péché) Mais vu la dernière parmi elles qui ne cadre pas avec le reste ce sera plutôt mieux de dire : « pas de cause sans effet. »
2. Venez voir les étrangers (9-15)

Amos invita les autres peuples étrangers de venir constater les méfaits de Samarie (9-10). Surtout les gens de noblesse furent invités à voir la décadence de leurs pareils en Israël. Après quoi Amos prononça la punition qui tomberait sur Israël (11-15). L’image donnée par Amos de profession de berger est plus que frappante. Il décrit le résultat du jugement de Dieu, comme un agneau emporté par le lion et que le berger réussit à lui arracher, mais tout mutilé. Les grands de Samarie menaient une vie confortable et luxueuse ayant pour lits des divans à l’angle desquels on s’assied très-commodément. Le châtiment atteindra aussi les autels de Béthel où les cornes étaient le symbole de la puissance salutaire. Et celles-ci seront brisées, ce qui sera accompli lors de l’invasion de l’Assyrie. La maison d’hiver symbole de luxe des grands et les palais d’ivoire où habitaient les princes seront tous ruinés (15). Ce que blâma ici le prophète, ce n’était pas qu’il existait de telles demeures, mais qu’on y pratiquait la violence. 

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