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dimanche 22 juillet 2018

1 Timothée 1:1-20 (M de 22/7/2018)

GARDE EN TOI LA SAINE DOCTRINE 
1 Timothée 1:1-20 
Verset Clé 1: 15 
“C’est une parole certaine et digne d’être entièrement reçue, que le Christ-Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis, moi, le premier.” 

Pour tuer leur temps libre, quelques sociologues ont fait une petite analyse sur le statistiques, concernant la corrélation entre les prénoms et la mention “très bien” du bac et trouvé un phénomène intéressant, c’est qu’il y a une grande inégalité de la corrélation entre les prénoms des bacheliers et leur obtention de mention. Par exemple, celles qui portent le prénom Garance ont obtenu 25 % du mention “très bien” tandis que Anthony ou autres moins de 5% et ce de l’année en année. Pourquoi ? J’ai vu le prénom Victoire qui a obtenu 18%, c’est déjà pas mal. J’espère que notre enfant Victoire obtienne ce mention l’année prochaine. L’analyse est suivante : pour les élèves dont les parents sont cadre, ils ont prévu les prénoms qui seront à la mode 4 ou 5 ans plus tard, et en nomme leur gamin, tandis que les parents des classe ouvriers qui déjà s’intéressent peu nomment leur gamin bon leur semble, avec n’importe quel prénom surtout parmi les prénoms qui sont devenu déjà ringards. Cette analyse est assez intéressante. Donc, j’y ai réfléchi, en cas de la naissance d’un bébé dans notre église, quel prénom donnerai-je ? Garance? Dans quelques années, il peut devenir un prénom ringard, donc je dois prévoir quelque chose qui sera à la mode dans quelques années. Grâce est le prénom dérivé de Garance; ce prénom en français n’est pas si jolie. Alors, comme notre nouveau-né porte l’un des prénoms présupposés, Germain, et que l’année est changé, et même si je ne saurai le voir qu’il obtiendrai ce mention ou pas, je me permets de donner ces nouveaux prénoms, si c’est une fille, je lui donnerai, Primevère, je pense que ce serait très à la mode dans 4 ou 5 ans, ce qui est conforme à la parole d’aujourd’hui, “dont je suis le premier”, et si c’est un garçon, Justin serait bien, comme nous avons appris la confession: “le juste vivra par la foi.” et selon le statistique que j‘ai consulté, ce prénom est très à la mode, peut être à cause d’un célèbre chanteur américain qui prétend pourtant être un chrétien converti.  
Quand il parle du chapitre 8 de la Romains, considéré comme couronne d’or ou le trésor de la Bible pour certains ou le plus grand chapitre de la Bible pour les autres, dont Martin Luther dit une fois qu’il était le chapitre le plus réconfortant pour le chrétien qui combat intérieurement entre la chair et l’Esprit, la personne que j’ai souvent cité dans le message comme l’auteur français, Richard Doulière dit “A chaque ligne, de nouvelles richesses apparaissent, d’une telle profondeur que c’est dans une terre sainte sur laquelle il convient de se déchausser, à l’image de Moïse devant le buissons ardent.” Je voudrais aborder ce matin avec vous le chapitre 1 de la première épitre à Timothée. Cette épître fut écrite pas très loin du dernier moment de la vie Paul à Rome comme prisonnier, ce qui nous révèle qu’elle fut écrite pendant la grande phase de la maturité de l’apôtre, et ainsi en lisant je me suis obligé de constater qu’il est avec des versets si précieux, un des plus grands chapitres de la Bible. Donc, je voudrais vous inviter à méditer ce chapitre en le divisant en trois parties: 1) L’identité et la salutation de Paul (1-2) Je mets ce titre, parce que cette salutation est très particulier. 2) L’amour qui vient de cœur et (3-11) 3) La saine doctrine digne d’être entièrement reçue (12-20) 

  1. L’identité et la salutation de Paul (1-2) 
En général, Paul adresse ses lettres avec une salutation qui nous parait parfois une cliché. Mais 1e épître à Timothé s’ouvre avec une salutation assez singulière qui est “par l’ordre de Dieu” d’une part “Jésus, notre espérance” d’autre part. D’où ce mérite de la réflexion à ce sujet.  
D’abord, il est judicieux de réfléchir sur son identité chrétienne de Paul. “Je suis apôtre Paul.” C’était son habitude de s’identifier à la tête de la lettre, ce qui est fait aussi dans cette épitre. Il dit donc, ”Paul, apôtre du Christ-Jésus.” Plus la nation devient multiraciale, la France avait senti, à un moment donné, construire une identité nationale. Cela semblait être nécessaire car chacun sait que l’obtention de la nationalité n’était pas suffisante, mais que corps et âme il fallait une vraie intégration de la personne qui demande l’asile en France. Il en est de même, pour devenir un chrétien, il faut d’abord une identité claire en tant que peuple de Dieu et pour Paul, c’était l’apôtre du Chris-Jésus. Le mot “Apôtre” est littéralement celui qui est envoyé. Nous avons tendance de penser que ce mot suggère déjà un niveau assez élevé de la spiritualité. Mais ça concerne toute sorte de nomination, telle enfant, peuple, serviteur, disciple, évangéliste, apologète, etc. En effet, Paul n’était pas parmi les douze disciples, mais il a reçu la vocation de Dieu pour l’évangélisation des païens quand il rencontra Jésus sur le chemin de Damas qu’il avait emprunté pour arrêter et ramener à Jérusalem les chrétiens de Damas, qu’ils pensaient suivre cette secte dangereuse de Nazaréen. Il était un type qui s’abattait fort pour nier et l’existence de Dieu et empêcher la croyance de ce Dieu par son alentour par tous les moyens, mais en vint à être renversé par Jésus qu’il persécutait. Une célèbre histoire est que le Général Wallas, pendant sa retraite en 1880, documentait tous les livres de toutes les bibliothèques des Etats-Unis ayant un seul but de nier la divinité de Jésus-Christ, mais au fur et à mesure que sa recherche s’avançait, il fut arrivé à ne pas pouvoir nier le fait que Jésus est venu au monde pour sauver l’homme de ses péchés. Enfin il accepta Jésus comme son Sauveur et fut converti et écrivit un des romans chrétiens les plus célèbres Ben-Hur, dont William Wyler fit une excellente version cinématographique fin des années 50 avec rôle principal par Charlton Heston comme Ben-Hur. De même que d’une manière ou d’une autre, un homme a besoin d’une identité physique, de même, en tant que créature de Dieu, l’homme a besoin d’une identité spirituelle. Quand nous acceptons Jésus, nous devenons peuple de Dieu. Jean a dit une fois, “A tout ceux qui l’ont reçue, elle a donne le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom, et qui sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.” Le bienfait de l’identification spirituelle ne sera jamais exagérée. Il est énorme. Le manquement d’identité conduit parfois dans une confusion et désarroi. J’étais errant et vagabond, quand je n’ai pas d’identité claire de ma vie. Mon identité était un future docteur professeur et un bon mari de la maison et chef de plusieurs générations de la famille Confucius de la Corée et futur candidat de squelette sous terre. Mon âme souffrait nuit et jour, et mon lieu de la plus grande fréquentation devint naturellement parmi les tombes comme le Gerasénien dans Marc 5. Mais quand ma vie était errante, justement au milieu des tombes des anciens rois de la Corée, Jésus était venu me rencontrer, et j’ai levé la tête, et j’ai eu cette vision que Jésus fut pendu sur la croix sui se tenait sur la tombe et me suis posé la question pour qui il fut mort étant innocent. Ayant la confession de Paul dans 1 Philippiens 1:20, “je n’aurais pas de honte.” J’ai pu enfin trouver que c’est pour enlever toutes mes hontes avec lesquelles j’ai vécu qu’il était mort ainsi cruellement. En sentant une grande délivrance, j’ai pu en même temps entendre l’appel de Dieu pour l’évangéliste en France où je l’ai rencontré donc à qui j’ai cette dette physique et spirituelle. Je peux vous dire que je n’ai aucun regret de suivre cet appel, comme Paul disait, “selon mon ardent désir et mon espérance.” Quand j’ai publié ainsi dans mon travail, et dans le campus, Dieu a amené plusieurs fruits dans ma vie, j’en rends gloire à Dieu. Or, ce n’est peu de chose par rapport à ce qui est fait du nazisme en Allemagne. Il est dit que le célèbre scientifique Einstein fut vraiment touché par les vrais chrétiens de son époque. Quand l’Allemagne se tourne vers le totalitarisme, il s’adressa d’abord au monde scientifique, mais tous les scientifiques gardaient le silence. Puis il se tourna vers le média, mais tous les journalistes fermèrent la bouche. Puis enfin, il se tourna vers les chrétiens. Alors, les chrétiens de l’union des églises appelées confessantes parlèrent ouvertement la fausseté de la régime Nazi, ce qui fait que ce grand scientifique arriver à confesser que Dieu chrétien est vrai et il aime son Eglise. Que pouvons-nous faire dans ce monde si confus et si incrédule et impie ? Nous ne pouvons pas faire grande chose. Mais si nous nous identifions clairement comme chrétien et apôtre, Dieu lui-même travaille afin que notre influence s’infiltre dans le monde et laisse la trace et l’impact non négligeable. Un jeune homme a reçu une sévère persécution de la part de sa famille et elle dit de choisir Dieu ou la famille. Mais il déclare clairement que leur Dieu n’est pas le bon Dieu, et le Dieu protestant à qui il croit est le seul et vrai Dieu et témoigna comment Dieu l’a appelé à la mission francilienne du Sud pour sa gloire. Le monde ne sera pas digne de telles personnes qui coûte que coûte se tient à Dieu et à la mission. Puis, une fois sauvé, pour le chrétien, il est essentiel d’identifier mon église. Car chaque église a une certaine identité. Notre église de CCU est une église envoyé pour l’évangélisation des campus. Il y en a celle qui a pour but d’évangéliser les prisonniers, il y en a celle qui croit en l’authenticité du baptême d’eau, le don de la langue, la guérison physique etc. Mais notre église a pour but d’étudier personnellement la Bible jusqu’à ce que chacun rencontre Jésus-Christ. Et récemment notre église s’avère une église chantante ayant un pasteur marrant, ou un pasteur drôle qui compose et chante et psalmodie, donc, mes amis venez pour voir ce pasteur marrant, et drôle. Personne ne vient pour écouter la théologie, mais il est bien facile d’inviter avec un chant composé par un pasteur coréen marrant. Chaque jeune peut inviter au moins 12 personnes à la prochaine K-pasteur, à mon avis, en plus c’est l’avant la rentrée, où ce pasteur va bénir tous les élèves Ensuite, même si Paul écrit de façon un peu austère, “par l’ordre de Dieu”, dès ses premiers mots, ce qui nous donne une impression inévitable que Dieu veut parler quelque chose à cette église dont Timothée était établi comme responsable. Par ces mots, nous pouvons prévoir sans difficulté que cette épître ne sera point amical, mais une lettre de consignes de la part de Dieu envers son armée. Or, comme nous avons appris au début de cette année quand nous avons cherché la direction, la 2e lettre à Timothée était une lettre qui s’apparentait à une lettre de commandant pour ses soldats qui marchaient sous son ordre. L’homme n’aime pas recevoir l’ordre. Il veut être libre au maximum et respecté dans son opinion. Mais nous, chrétiens devons savoir que Dieu veut parfois nous ordonner pour certaines choses, pour que nous n’ayons pas de marge de manœuvre dans notre vie. En un mot, quand il s’agit de l’âme, sa lutte et sa victoire, Dieu ne laisse pas de marge de manœuvre pour ses soldats. C’est comme si en temps ordinaires, les soldats peuvent déambuler dans leur camp, mais pendant l’opération, il leur est enlevé toute la liberté d’action, car c’est un moment très important et déterminant dans la future éventuelle guerre et la vie des citoyens qu’ils sont appelés à défendre.  
Ensuite, j’attire votre attention aux mots ”Jésus, notre espérance.” Cette salutation ne se trouve à nulle part dans les écritures pauliennes. Pourquoi Paul écrit-il, de façon non conventionnelle ces mots d’espérance comme une salutation? Il est bien probable que quand Paul écrivit cette lettre, il sut que la fin de son séjour de la terre approchait. Plus que jamais donc, il eut cette espérance dans le royaume de Dieu. Mais quand il écrit une lettre, il mettait toujours plus d’accent sur l’intérêt des destinataires que le sien. Paul avait plein d’intérêt des bienfaits spirituels des chrétiens à Ephèse. Il est évident que l’espérance dont il s’agit ici n’est pas l’espérance périssable de ce monde, mais l’espérance vivante dans le royaume de Dieu.  Quand on est jeune, il y a beaucoup de désir et espérance qui naissent dans leur cœur d’ordre terrestre. De nouveau jeux, de nouveau clip, de copain ou copine pourquoi pas, de distractions de toute sorte. Mais tous ces choses périssent mais ne durent jamais un ou deux mois. Plus on est jeune, donc Paul exhorte, plus on a besoin de fuir la passion de la jeunesse. Si nous la fuyons, Dieu a pitié de nous et fait naître en nous, une soif de l’éternité. C’est assez singulier de parler l’éternité pour les jeunes, car les jeunes ont trop de goût pour la terre, et il y a trop d’écart entre leur âge et l’âge de mourir. Mais il est bien possible, si nous prions, que même dans les cœurs des jeunes naissent l’espérance vivante dans le royaume de Dieu. Un jeune peut dire, quand la Bible dit qu’il y a le royaume de Dieu qui lui est préparé, le trône de Dieu sur lequel il s’assiérait etc., “ça m’intéresse pas.” C’est bien compréhensible, mais à un moment, si quelque lui dit, “là tu pourras voir ta mère que tu as perdu à jamais,” alors il répondrait, “ça va mieux, je vois un peu plus d’intérêt.” Même se quelque lui dit, ”dans le ciel il y a l’héritage qui ne se corrompe pas, ni se flétrit,” “à quoi ça sert pour moi? Je préfère d’avoir l’héritage tangible un peu comme celui de Laëtitia Hallyday, quoi qu’elle passe des procès pénibles parfois, ça me fait plus intéressant. Avec ça, je peux acheter la maison, la voiture, beaucoup de jeu, etc. Mais quand tu lui dit, “là il n’y a pas de larmes, car ta grand-mère qui t’a aimé ne mourra pas mais restera à jamais à côté de toi, et te gardera tout le temps.” Alors il répondra, “je vois un peu mieux, alors ça m’intéresse.” “Le Seigneur sera ton époux.” “Je ne m’intéresse pas, j’aimerais plutôt avoir un conjoint qui me caresse et écrit une lettre romantique et tendre.” “Alors toutes les sœurs t’écriront une lettre, même si elle n’est pas romantique, mais très touchante jusqu’au larme, toute le temps, matin et soir, tu seras entouré des amis qui t’aiment sans failles, alors que tes amis dans ce monde vont et viennent.” “A, ça c’est intéressant.” Or, ces espérances du ciel seraient le début. Quand nous irons, tous ces choses seront incomparables. Le centre de cet intérêt est Jésus, Il donne l’espérance dans le royaume de Dieu et elle ne change jamais. Il nous satisfait entièrement et nous y demeurons éternelle, sans tristesse, sans larme, sans deuil, avec ceux que nous aimons, avec Jésus le Seigneur, éternellement. Donc, Paul veut commencer cette lettre avec l’espérance dans le ciel que donne Jésus. Donc, la lettre aura une teinte joyeuse, quoi que le contenu peut être lourd par l’ordre de la part du Seigneur. Nous devons nous aussi avoir cette espérance dans notre cœur quand nous commençons quelconque œuvre de Dieu ou voulons consoler quelqu’un dans notre entourage.  
Ensuite dans le verset 2, Paul nous présente la personne Timothée, qu’il considère comme un enfant légitime. Dans notre ministère, Timothé est le mari de notre bergère Estelle. Celle-ci prie beaucoup pour son mari, afin qu’il soit un homme plein de fruit dans le champ de mission. Sa prière est plein d’espoir en Jésus-Christ. En fait, Timothée était converti quand Paul était à Ephèse, et il accompagnait Paul dans son deuxième voyage. Timothée était un homme plein de faiblesse, mais Paul voulut l’élever comme leader spirituel et berger des âmes, car il était un homme fidèle. Du point de vue humain, il n’était pas autochtone d’Ephèse, comme Ephaphrodite, un serviteur sacrificiel pour Paul, mais plutôt il était un métis, né entre sa mère juive, et son père grec. Si on voit 2Timthée 1:7, il était un homme à esprit timide. Ayant grandi dans la protection maternelle et de grand-mère, il savait comme s’aimer lui-même, mais il ne savait pas comment aimer les autres. De plus, dans le ministère, il manquait la maitrise de soi.  En tout cas, Malgré tous ces faiblesses, Timothée était enraciné fidèlement par son père spirituel jusqu’à grandir un grand leader de sa génération.  Paul prie que Timothée soit rempli de grâce, miséricorde et paix en Jésus. Timothée avait beaucoup d’ouailles dans son église, car il veillait aux anciens alias évêques qui s’occupaient de la maison église, car le grand nombre de fidèle n’avait pas de lieu de culte car le bâtiment de l’église commence à être constuire à partir de Constantin 313 après Jésus-Christ, donc, on était obligé de se réunir par unité de famille. Timothée devait instruire ces anciens et évêques au moins une fois par semaine dans sa maison ou en faisant le tour de ville en ville. Il était, malgré le jeune âge, comme un père qui a beaucoup de garçons et filles comme enfant. Un père qui a beaucoup de garçons et fille a aussi beaucoup de problèmes. Assailli par ces problèmes, il aurait souffert de la migraine. Mais Paul prie qu’il n’ait pas de migraine, mais soit constamment remplie de grâce, de miséricorde et de paix. Si nous sommes père de trois enfants, nous pouvons avoir grâce pour l’aîné, miséricorde pour le deuxième, paix pour le troisième. Si nous avons trois brebis, nous devons montre grâce pour la première, miséricorde pour la deuxième, et paix pour la troisième. Mais si un berger n’a qu’une brebis, il est juste qu’il verse sur cette brebis, grâce, miséricorde et paix à la fois. Si quelqu’un n’a pas brebis, il faut partager ces dos avec les frères et sœurs de l’église. Paul voulait en tout cas, que Timothée soit remplie de ces dons dans son ministère, car ils sont le secret incontournable de son ministère.  

  1. La recommandation de l’amour  
Ensuite, Paul parle de faux docteurs qui essaimaient les vains discours, concernant la foi. Nous avons appris que les mots de Rm 8 étaient pour séparer le vrai du faux. La Bible en général, parle de cette séparation du vrai du faux. Nous avons appris la parabole des brebis des boucs, celle du pécheur des poissons. En ce qui concerne la doctrine, aussi , il y a la bonne doctrine, et la mauvaise doctrine. La bonne doctrine exprimée par l’autre mot “saine doctrine est une doctrine édifiante. Il édifie l’âme et contribue à la sauver, tandis que la mauvaise ou la fausse foi détruit l’âme et contribue à la perdre.  Donc, il est essentiel de bien discerner et séparer le bon du mauvais pour la doctrine. Paul dit, “comme je t’y ai exhorté, à mon départ pour la Macédoine, demeure à Ephèse, afin de recommander à certaines personnes de ne pas enseigner d’autres doctrines et ne pas s’attacher à des fables et des généalogies sans fin, qui favorisent des discussions plutôt que l’œuvre de Dieu dans la foi.  
Ici, nous avons besoin de jeter un coup d’œil sur l’histoire de l’œuvre d’Ephèse. Cette ville fut pionnée au début du troisième voyage de mission de Paul. Quand Paul y fut arrivé, il y rencontra 12 jeunes hommes soi-disant disciples. Ils étaient bien parlant et connaissaient bien Jésus. Au bout de certain temps, Paul trouva que cela était dû à la labeur d’un érudit qui avait séjourné dans cette ville avant qu’il vienne. Ils disaient qu’il s’appelait Appolo. Il était un homme versé dans les Ecritures, et il témoignait de Jésus qu’il était le Messie promis selon la Bible et défendait sa cause devant les Juifs. Donc il était un excellent semeur de la parole de Dieu. Cependant, il ne connaissait pas l’œuvre du Saint-Esprit. C’est pourquoi quand Paul leur demandait s’ils connaissaient le Saint-Esprit, ils haussèrent d’un commun accord l’épaule comme une réponse négative. Ils disaient qu’ils n’avaient jamais entendu même le mot du Saint-Esprit. En effet, ils ne connaissaient, selon l’enseignent de leur maître, que le baptême de Jean-Baptiste. Et leur connaissance de Jésus était seulement par leur tête comme s’il est quelqu’un qui juge, ceux qui n’ont pas reçu le baptême de Jean. Mais Paul les enseigna que la raison pour laquelle Jean baptisait les gens était pour qu’ils croient en Jésus-Christ, c’est-à-dire quelqu’un ennoyé par Dieu pour qu’il purifie tous les péchés d’un homme, car il est mort sur la croix à la place et il est ressuscité d’entre les morts. Alors ils furent baptisés par l’imposition des mains de Paul et ils se mirent à parler en langue et prophétiser. Ils reçurent le Saint-Esprit. Cependant, l’œuvre de Paul n’était pas finie. Car quand les adversaires se soulevèrent au bout de 3 mois dans la synagogue, il se heurta à une grande limite de son œuvre et se retira et se mit à former les disciples qu’il avait mis à part en formant une école appelée Tyranus. De par l’œuvre de Paul à Ephèse, nous trouvons une vérité importante, c’est-à-dire que la réception du Saint-Esprit est une chose, et l’influence forte sur les autres est autre chose. Ces 10 disciples ont été enseigné par Appolo et furent baptisé du Saint-Esprit, mais selon la remarque de Paul, ils devaient être formés encore convenablement ou de façon plus systématique pour qu’ils puissent être une force motrice pour changer l’ambiance impie de la ville. L’évangélisation est un combat constant contre Satan. Donc, Paul se mit à les former pendant 2 ans par des cours intensif sur la parole et la saine doctrine chrétienne, en même temps que d’enseigner la foule qui venait dans l’école. Il loua une école philosophique et le jour où il y eut des cours, il travaillait comme fabricant de tente, mais quand le temps devenait plus frais le soir, lui et ses disciples enseignaient les gens qui se réunissaient. Quand Paul y mit ainsi l’accent, l’œuvre de Dieu se mit à marcher et finit par s’exploser. Actes 19:10 écrit, “Cela dura deux ans, de sorte que tous ceux qui habitaient l’Asie, Juifs et Grecs, entendirent la parole du Seigneur.” La Bible disait qu’ils s’étaient réunis tous les jours. Puis à vendredi comme notre Eglise, les élèves présentaient leur témoignage sur leur œuvre de foi. Quand ils continuaient ainsi, il y avait une grande œuvre de Dieu. Beaucoup de ceux qui avaient cru venaient confesser et déclarer ce qu’ils avaient fait. Un assez grand nombre de ceux qui avaient pratiqué la sorcellerie apportèrent leurs livres et les brûlèrent devant tous. On en calcula la valeur et l’on en trouva pour cinquante mille pièces d’argent. Vraiment non seulement, ils apprenaient la parole intellectuellement, mais ils la mettaient en pratique malgré le grand sacrifice pécunier. Ainsi, il est étonnant de voir que toute l’Asie entendit parler de Jésus. Ainsi la formation des disciples était si puissante pour trembler tout le pays. C’était un grand réveil au niveau de tout le pays. Ces jours-ci, beaucoup d’églises mettent l’accent sur les activités culturelles pour s’infiltrer dans l’ambiance laïque du pays. Un pasteur à Strasbourg que je connais se ralliait avec la mairie pour rassembler les gens à faire des activités culturelles de sport et de divertissements au bout de la quelle, ils donnent beaucoup de cadeaux offerts par ses ouailles. Mais je me demandais si de telles églises jouissent eux-mêmes de ce genre d’activité sous prétexte de la laïcité du pays. C’était même si sa région était néanmoins une région moins laïque, il pratiquait cette façon. Mais l’ambiance d’Ephèse où Paul travaillait était plus terrible qu’aujourd’hui. Les habitants étaient profondément superstitieux et impies et violents. Mais quand Paul formait les disciples d’un côté, et enseignait la parole de Dieu d’un autre côté, l’œuvre de Dieu s’explosait pour emporter tout le pays. Je crois que c’est cela que nous devons espérer l’année prochaine 2018-2019 en le débutant par la conférence d’été de la saine doctrine de 27 à 30 juillet.  
Or, Ephèse était la ville principale de la contrée grecque de l’époque. Là fleurissaient non seulement la religion païenne comme le montrait le temple d’Artémis au centre-ville dominant sur toute la ville, mais aussi partout dans la ville se trouvaient les écoles de la formation de la philosophie grecque. Si Corinthe était une ville de la culture décadente, dont l’église était plus ou moins influencé, jusqu’à ce que le levain du péché y pénètre, Ephèse était une ville pleine de philosophie. Au fil du temps, les ouailles étaient influencées. Comme Paul prédit quand il fit le congé avec les anciens d’Ephèse, à Millet, qu’il y aura le loup qui viendrait arracher les brebis, les faux docteurs versés dans la philosophie grecque pénétrèrent pour séduire les brebis innocentes. Donc, Paul voulait écrire Timothée responsable de l’église de faire taire ces gens pour protéger ces brebis de la mauvaise influence. L’expression était assez forte comme “la ferme.” Mais cela était nécessaire, car Dieu ordonne pour protéger les brebis. Le motif principal de Paul qui dit, était selon lui, l’amour qui vient de cœur.   
En fait, Paul parle de la loi pour que nous puissions entrevoir que la catégorie des gens qui troublaient l’église était les hommes de la loi. Ils étaient les judéo-chrétiens qui se basaient sur la loi. Ils étaient de ceux qui insistaient sur le fait qu’on doit absolument se faire circoncire si on veut devenir de vrais chrétiens. Ils étaient de ceux qui insistaient que l’Evangile en soi n’est pas suffisant, mais il faut ajouter un alpha pour justifier notre salut. Ce genre d’argument basé sur l’oeuvre humaine est toujours plus attirant aux hommes. Donc, il y a pas mal d’adeptes parmi nos contemporains, athéistes et monothéistes confondus, parmi les chrétiens, mais cela était le phénomène de génération en génération. Paul les définit comme les gens qui prétendent être docteur, mais ne sont qu’ignorants. Ils sont de vain-discoureurs, qui ne font que du bruit, mais impliquent un danger flagrant pour ceux qui sont débutants et immatures.   
Mais que dit Paul au sujet de la loi ? Il dit, “la loi est bonne, pourvue qu’on en fasse un usage légitime.” Donc l’utilité de la loi est indéniable, mais ceux qui sont justes sont affranchi de son entrave, et comme Jésus les a affranchis, le chrétien n’a pas besoin de s’appuyer sur elle. C’est vrai qu’elle est toujours utile quel que soit l’époque, surtout pour ceux qui commentent l’injustice, telles “les méchants, les indisciplinés, les impies et les pécheurs, les sacrilèges et les profanes, les meurtriers, les débouchés, les homosexuels, les trafiquants des esclaves, les menteurs, les parjures, et tout ce qui en outre est à l’opposé de la saine doctrine.”  
En sommes, la loi, malgré son utilité, est à l’opposé de la saine doctrine, qui est l’Evangile. La loi ne nous sauve pas, mais l’Evangile nous sauve par la foi de celui ou celle qui l’accepte. Paul dit qu’il est établi non pour la loi, mais pour l’Evangile. Il s’agit qu’il rende témoignage à la vérité. Quelle grâce merveilleuse que le Seigneur Jésus lui a confié l’Evangile qui est la clé du royaume de Dieu. C’est parce qu’il a jugé Paul comme un homme fidèle capable de le tenir efficace auprès des hommes. Parfois nous enseignons les dix commandements, car c’est la base de toute la chrétienté. Mais nous devons voir ces commandements non de manière de la loi, mais de manière de l’Evangile: c’est-à-dire, dans ces commandements, nous pouvons lire la volonté inlassable de Dieu de sauver l’humanité pécheresse, quitte à sacrifier son seul et unique Fils.   

  1. La seine doctrine digne d’être entièrement reçue (13-20) 
Le verset 14 dit “la grâce de notre Seigneur a surabondé, avec la foi et l’amour qui est en Christ-Jésus.” Or, si on y ajoute les versets 15 et 17: “c’est une parole certaine et digne d’être entièrement reçu... Au roi des siècles, immortel, invisible, seul Dieu, honneur et gloire aux siècles des siècles, il est étrange que dans cette partie, tous les solas du protestantisme sont compris:  Sola gratiasola fidesola Christ, sola scruptura, et sola gloria. Cette constatation du verset 14 venait de l’expérience personnelle de Paul. Il était autrefois blasphémateur, mais maintenant, par la grâce de Dieu, il est devenu un serviteur de Dieu. Quelle grâce merveilleuse ! Cette grâce du Seigneur surabonde dans nos vies sauvées. Nous saurons trop rendre gloire à notre Seigneur. Ici, le point de départ de la seine doctrine est la grâce. Là où la loi domine, la grâce s’asphyxie. Donc, nous devons être vigilants pour ne pas nous adonner à la loi qui nous séduit sans cesse pour prendre la place qui est réservée à la grâce. Une femme qui manque la grâce doit être investie pour creuser cette grâce, si elle veut influer son mari avant qu’il parle du monde. Mais une fois partie, la grâce doit être compléter par la foi et l’amour qui sont si abondant dans le Seigneur. C’est un peu comme 12 disciples d’Ephèse qui ont reçu le baptême du Saint-Esprit se forment dans l’école de Tyranus pour qu’ils se tiennent fermes dans la foi. J’ai entendu d’un pasteur, que dans son église on pratique la leçon de la vie. En effet, il dit que le baptême d’eau ne suffit pas, il faut vivre le baptême, en tournant son regard constamment vers les autres. Il dit qu’il y a deux sortes de prières, la prière religieuse, et la prière spirituelle. En prenant l’exemple d’une veuve dans son église qui n’a jamais manqué le PQ pendant les 40 derniers années, et la réalité d’elle est que malgré qu’elle témoigne qu'elle a reçu plus de 10000 fois à ses prières, c’est un peu déplorable, pendant 12 ans de son ministère, elle est venue vers lui dire, “je viens d’être tentée, je vais quitter l’église” et cela plus de 200 fois. Puis autours d’elle, personne ne se réunit. La prière religieuse est entendue plus de 10000 fois par Dieu, même un animiste d’un temple bouddhique qui lui offrit des gâteaux, disait qu’elle avait reçu plus de 10000 fois la réponse de son dieu, Bouddha. Mais recevoir la réponse 10000 fois ne signifie pas qu’il y a une relation entre Dieu et l’homme, ce qui est tout à fait une autre histoire. La grâce est cette relation entre Dieu et l’homme. Et comme plus tard, 2:5 dit, ”il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ-Jésus homme.” Il s’agit de la doctrine d’incarnation. Malgré la difficulté de matière, nous devons absolument appréhender cette doctrine, car sans quoi nous ne pourrons pas avoir la relation avec mon Seigneur Jésus, et sans quoi nous n’aurons jamais expérimenter la grâce dans nos vies. Si nous nous ouvrons vers les autres et nous intéressons aux autres, notre grâce commence à grandir jusqu’à ce qu’elle surabonde comme Paul. Donc, vivons la grâce dans la vie, c’est comme ce pasteur m’a dit, la leçon de la vie.  
Donc, il est important extrêmement important de creuser la foi et l’amour qui est en Christ-Jésus. La foi et l’amour ne peuvent pas être trouvé dans d’autre endroit que Jésus-Christ. Seul Jésus-Christ est le détenteur de la foi et l’amour. Si nous lisons les Evangiles, nous pouvons découvrir la foi et l’amour de Jésus-Christ, et plus nous les appréhendons, plus notre grâce abonde. Quand Jésus traversa la mer de Galilée, sur l’eau, il est sûr qu’il ait la foi, mais que Jésus ait la foi n’étonne personne, car il est Dieu. Mais parfois, nous trouvons qu’il réprimandait la génération privée de la foi, afin qu’il ait la foi pour guérir. En se réveillant du sommeil, en calmant la tempête, il reprocha les disciples en disant, “où est votre foi.” “Race incrédule, jusques à quand serais-je avec vous,” dit Jésus aux disciples qui étaient impuissants devant l’enfant démoniaque. De même Jésus pratiquait toujours l’amour divin, en ouvrant les yeux des aveugles, en touchant l’homme de la lèpre. Jésus est venu jusqu’à nous, et mourut sur la croix pour nous pardonner nos péchés et faire de nous ses enfants. Merci Seigneur. Paul résume donc à la fin du verset 15, l’Evangile, la seine et simple doctrine : “Chris-Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis, moi, le premier.” Il est important de mettre cette rime au bout de la seine doctrine, car la doctrine est toujours la doctrine. Nous devons l’appliquer dans nos vies. Or, si Dieu nous a sauvé, nous qui sommes les pires pécheurs, il a la volonté certaine pour nous. Que nous soyons les premiers dans le zèle de servir Dieu et son Fils trois fois saint. Ainsi, Dieu veut que nous servions d’exemples de la foi de l’amour au milieu de cette génération. Nous ne savons rien sur la prédestination de Dieu sur tel ou tel homme. Mais parmi nos voisins et amis, il y en a ceux qui sont prédestinés par Dieu. Comme l’époque de William Carey, père de la mission mondiale qui est parti en l’Inde comme missionnaire, l’ambiance générale du protestantisme d’aujourd’hui était que les chrétiens n’ont rien à faire car Dieu sauvera ceux qui sont destinés à être sauvés. Mais jeune Carey s’y opposa avec véhémence, car Dieu appelle chacun d’homme pour l’utiliser pour l’accomplissement de sa volonté. Donc, il est censé être le pionnier de la doctrine moderne du protestantisme appelé prédestination globale dont j‘ai expliqué un peu la dernière fois. En tout cas, Dieu met à l’endroit où nous sommes, afin que nous puissions servir de cause de salut et mais source d’encouragement pour ceux qui sont prédestinés par Dieu à avoir la foi en lui et marcher vers la vie éternelle. En résumé, nous ne sommes envoyés comme apôtre, non pour offrir le salut aux hommes, mais pour partager la grâce avec ceux qui croiront selon la volonté divine.  
Lisons le verset 15. Ici, Paul était un vrai berger. Paul se reconnut comme “un avorton.” Puis dans 1 Co 15: 9-10, il confesse qu’il est le moindre des apôtres.” Quoi qu’il fut indiscutablement un des plus grands leaders de l’histoire chrétienne, Paul n’oublie pas qu’il n’était qu’un pauvre pécheur. En général, quand on est leader ou pasteur, il veut être reconnu comme tel, et ne se réjouit pas de s’abaisser et démontré comme un faible, mais Paul dit: le pécheur dont je suis le premier. Quand on est berger, nous devons appréhender cette matière importante d’humilité en nous montrant comme un pécheur impardonnable. D’habitude, les serviteurs de Dieu ont tendance de se montrer pieux et saint. Beaucoup de serviteurs de Dieu pensent qu’ils ne sont pas pécheurs, mais que les membres de leur église sont tous rebelles et pécheurs avares. Certains chrétiens pensent qu’ils sont les meilleurs pécheurs que leurs amis parce qu’ils ne fument pas les joints mais ils le font. D’habitudes, les hommes déchus se considèrent comme justes. A l’époque, le niveau de la foi de Paul est équivalent au royaume céleste. Il était une fois monté jusqu‘à troisième ciel. Donc, son niveau de la foi était incommensurable, tri-dimensionnel. Par rapport à lui, chacun de nous n’est moins que nul. Mais Paul ne pensait pas qu’il est haut ou supérieur. Mais il se souvient de la grâce de Dieu et se dit pécheur numéro 1.      
La dernière partie est l’exhortation personnelle de Paul à Timothée. C’est la recommandation, mais ce mot est faible, il est plutôt l’ordre adressé par le quartier général de l’armée pour ses soldats. C’est de combattre le bon combat de Dieu. Timothée était un jeune leader établi dans l’église de Ephèse. Faire face aux hommes âgés et faire face aux faux docteurs avec des jeux des mots si sophistiqués et insideux était une tâche vraiment difficile. Puis, au niveau de caractère, il était un homme plein de faiblesse, comme nous l’avons vu précédemment. Mais Paul ne lui a pas dit, “sois à l’aise”, mais lui demanda d’être ferme et inébranlable, en disant, “combat un bon combat de Dieu.” Paul ne le considéra pas comme une masse de faiblesse, mais comme un commandant-en-chef pour l’armée de Dieu. A la fin, cependant Paul révèle à Timothé un secret de succès. C'est que Timothée garde la foi et une bonne conscience. Dans le combat de Dieu contre l’ennemi Satan, nous sommes démunis, mais si nous gardons la foi et suivons la voix de conscience, nous pouvons être conduits au bon port. Luther fit valoir ce secret et remporta la victoire contre l’ennemi. Dans le combat, nous ne devons pas chercher les expédients humains qui ne servent à rien. Nous devons lever la tête et regarder Jésus ayant la foi, apprendre sans cesse de lui la foi, et quand il semble disparaitre, nous ne devons pas nous désespérer, mais avoir assez d’humilité pour entendre la conscience qui nous parle. Hyménée et Alexandre sont les exemples où les gens s’enorgueillissent pour rejeter la voix de conscience. Garder la foi et la conscience, signifie aussi garde la saine doctrine. Car souvent l’objet de la foi est la parole de Dieu, et quand la conscience est émoussée, la parole de Dieu est là pour la réveiller, un peu comme il y a la révélation naturelle pour l’existence de Dieu, mais comme notre entendement est émoussé, Dieu nous a donné la révélation spécifique qui est la Bible. Que Dieu nous aide à établir et maintenir la seine doctrine sur la mort et la résurrection de Jésus-Christ et combattre un bon combat de Dieu ! 

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