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samedi 14 juillet 2018

Genèse 4 :17-26 (PQ de 14/7/2018)


CAÏN VERSUS SETH

Verset Clé 4 : 17



Caïn et ses descendants en vinrent à accomplir des œuvres humaines non-négligeables. Sa tribu était forte. Abel fut déjà oublié. Mais Dieu est celui qui se souvient. Il se souvint de l’œuvre d’Abel et la fit suivre. Comment ? C’est ce que nous apprenons à l’aube de l’histoire humaine.      



1.     La tribu méchante et talentueuse (17-24).

Caïn eut un fils appelé Hénoc. Il bâtit une ville et la dédia à son fils. Déjà c’était un acte de désobéissance, car Dieu dit qu’il soit errant. Dans son système, le nom portait beaucoup d’importance. Les gens cherchent le renommé, qui est le synonyme de la célébrité, la popularité, ou la reconnaissance. Mais ces choses sans contenu spirituel ne sont qu’éphémère. 4e descendant de Hénoc est Lémek. De génération en génération, la méchanceté de Caïn ne cessait d’augmenter, sans aucunement diminuer, en sorte que le plan conçu par cet homme est inimaginable. Il tua un enfant comme une vengeance à un bobo infligé mais sa conscience n’en était point affectée. Paul avait raison de dire qu’avant que la loi vienne, le péché, quoi qu’existant, n’a pas été mis en compte. Il était comme un animal. Il se vanta devant ses deux femmes de la promesse de la protection divine faite à son aïeul pour justifier son acte. Leurs fils eurent beaucoup de talents, mais ils ne s’en servaient pas pour Dieu. Mais Dieu les laissa faire et utilisera ces choses pour l’humanité.  



2.   Naïf Seth (25-26).

Eve accoucha du troisième enfant, et confessa que Dieu le lui a donné à la place d’Abel. Ainsi Dieu la consola. Dieu se souvint d’Abel, de son sang innocent versé pour la cause de Dieu, et voulut l’honorer en donnant le substitut. La tribu Seth ne manifesta pas de talents. Pourtant son fils appelé Enoch était un homme de Dieu. Quand il naquit, on commence à invoquer l’Eternel. Surement, son père en aurait été le premier. La tribu de Seth, quoi que peu talentueuse, cherchait Dieu et le priait comme la priorité de la vie. Si nous voyons le chapitre suivant, nous trouvons qu’ils n’accomplissaient pas beaucoup de choses, et ils faisaient seulement succéder le nom avec les âges vécus. Ici, le nom a un autre sens. C’est la foi. Sans éclat, faire succéder la foi est une grande renommée devant Dieu.    

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