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mardi 24 juillet 2018

Genèse 14 :1-24 (PQ de 26/7/2018)

LA FOI D’UN VAINQUEUR
Verset Clé 14 :17
L’homme demande des choses quand il est dans le besoin, mais quand il obtient ce qu’il veut, son aspect change. La foi s’y révèle. Nous constatons ici l’exemple d’une véritable foi, non à cause de sa victoire apparente, mais à cause du cœur caché digne d’approbation.                    
1. Abram partit tout de suite, à la nouvelle (1-16)
A l’époque d’Abram, il y eut des guerres avec le principe de la survivance des mieux adaptés. Les forts mangent les faibles. 4 rois dans les régions d’Elam et de Babylone en Mésopotamie, étaient les rois forts, et quand 5 royaumes du côté de la mer méditerranée relativement moins forts qui étaient vassaux se révoltèrent, ces 4 rois firent une expédition de la guerre punitive. Après avoir envahi les peuples de Canaan, ils se tournèrent vers les vassaux et firent l’oppression. Kedorlaomer qui était le roi principal envahit Sodome et Gomorrhe et amena leur peuple en captivité. Là était Loth et sa maisonnée qui vivaient à Sodome. Dès qu’il entendit cette nouvelle, Abram arma 318 les plus vaillants soldats pour partir en guerre pour sauver sa famille. Abram remporta la victoire par sa stratégie militaire sur Kédorlaomer. Il semble qu’il avait reçu le soutien de ses amis Cananéen. Il sauva Loth et sa famille.           
2. Je ne te prendrai rien de toi (17-24)

Le roi de Salem Melchisédek en même temps le roi de Sodome, Béra sortirent vers Abram vainqueur de retour. L’un vint pour encourager en exaltant son Dieu. Alors Abram lui fit une offrande de dîme. Par contre, Béra vint vers lui pour le profit. Il proposa de prendre les butins. Mais Abram refusa de les prendre, de peur qu’il se dise d’avoir enrichi Abram. Seulement il prendrait la part des gens de la maison d’Echekol, son ami, qui était volontaire de partir ensemble pour la guerre. La faveur de l’ennemi peut nous profiter dans l’immédiat mais elle se tournera à notre défaveur à long terme. Abram vainqueur n’était pas emporté par le sentiment héroïque. Mais il était assez humble pour exalter le nom et assez sage pour ne pas s’appuyer sur la faveur des impies.  

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