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dimanche 8 juillet 2018

Genèse 2 :4-17 (PQ de 9/7/2018)

DIEU ETABLIT LE JARDIN EN EDEN
Verset Clé 2 : 8
La parole d’aujourd’hui peut être considéré comme l’autre version de la création. En effet, le nom de Dieu change de Elohim (Dieu puissant) en Yahvé (Dieu d’amour). Mais ce sera plus raisonnable qu’elle est le détail du 6e jour de la création.       
1. Dieu créa l’homme du sol. (1-2)
Quand Dieu arriva à son 6e jour de la création, quoi qu’il y ait déjà les végétaux, il n’y avait pas encore de germination végétale. Cela viendra en même temps que la culture et l’installation d’un environnement adéquat. Le sol était humide par la vaporisation, ce qui ne favorisait pas la culture. Le problème plus au fond de la stérilité pré-jardin était qu’il n’y avait pas d’homme. Donc, Dieu forma l’homme du sol. Le fait que l’homme fut formé à partir de cette matière humble nous en dit long que l’homme a affaire avec le sol d’une part et son existence est par nature fragile, d’autre part. Il n’y avait rien qui le rendrait orgueilleux. Mais à la différence des autres animaux, le souffle de Dieu fut insufflé dans ses narines. Il s’agit de l’Esprit de Dieu. C’est le seul point fier. L’homme est par nature un être spirituel qui peut communiquer avec Dieu. Ainsi, dans la communion avec Dieu, il reçoit la vie de Dieu chaque jour. 
2. Dieu forma le jardin en Eden (3-12)

Dieu installa un jardin en Eden. Dieu fit germer les végétaux et par l’irrigation fit venir l’eau des fleuves. 3 sur 4 bras sont inconnus maintenant, Dieu nous donne quelque précision. Seul l’Euphrate nous est connu, nous n’avons pas besoin de la précision. Le jardin était beau car il y avait partout des pierres précieuses. Le bdellium et la pierre d’onyx rares de nos jours étaient là aussi. Ensuite, Dieu donna la mission à l’homme. L’homme est un être de mission. Dieu donna d’abord l’ordre de cultiver et garder. Ce dernier mot nous fait imaginer qu’il y avait déjà le tentateur. Dieu donna l’ordre de ne pas manger de l’arbre de connaissance du bien et du mal, en prévenant que le jour où il en mangerait, il mourrait. C’est un commandement d’amour. Il fallait y obéir, mais avant, il fallait le croire.

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