DAVID ET JONATHAN SE
SEPARÈRENT
Verset Clé 20 :
16a
La sécurité de David était en danger. Il fuyait. La
parole d’aujourd’hui nous raconte comment David se sépara de Jonathan
définitivement. Ils établirent une alliance qui était inviolable.
1. David s’en alla vers Jonathan
(1-8)
David fuyait car, même
Samuel ne put rien faire pour David quand Saül fut envahi par le démon de la
jalousie. Il était dans le cul de sac en face du camp de Saül qui ne cessait de
le serrer. Alors, David, comme s’il était noyé et obligé de saisir la paille,
s’en alla voir Jonathan. Il se plaignit devant lui, car il n’avait rien fait de
mal contre son père, le roi. Jonathan avait l’air encore d’avoir confiance en
son père. David voulut confirmer la volonté de son père à son égard. Donc, il
fit un test qui servirait d’un signe. David s’absentera dans la fête de la
nouvelle lune. Et le signe se manifestera par les mots du roi, selon ce qu’il
avait dans son cœur.
2. Tous deux pleurèrent
et se séparèrent (9-24)
Jonathan transmit le
message de David au roi. Mais la colère et l’insulte du roi à l’égard de
Jonathan changèrent l’idée fixe de celui-ci définitivement. Il était clair que
le roi avait décidé de tuer David. Jonathan fit un signal selon ce qui avait
été arrangé avant son départ vers la fête, car le roi a décidé d’éliminer
David. Alors, David comprit que le cœur du roi était ferme et irrémédiable et
il dut donc prendre la fuite. Entre David et Jonathan qui s’entre-aimaient l’un
l’autre avec l’amour plus fort que la femme, on avait fait une alliance. Cette
alliance est que comme Jonathan avait laissé ou aidé partir David, sa maison et
sa descendance ne seront pas détruites par David. Elle se tiendra toujours
devant Dieu et devant David. David ne portera pas atteinte au droit de la
maison de Jonathan, selon cet engagement perpétuel. Jonathan et David se
levèrent tous les deux et s’embrassèrent et pleurèrent et surtout David le fit beaucoup.
Ainsi les amis intimes se séparèrent. Maintenant, David était absolument seul,
et le monde devant lui est comme une vaste océan sur laquelle sa vie naviguait une nacelle vacillante.
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