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dimanche 26 août 2018

Néhémie 5-8 (M de 26/8/2018)


LA JOIE DE L’ETERNEL EST VOTRE FORCE 
  
Néhémie 5-8 
Verset Clé 8 :10b 
“ne vous affligez pas, car la joie de l’Eternel est votre force.”  

Nous avons appris la semaine dernière, comme la muraille de Jérusalem qui avait été détruite put être de nouveau construit. C’était grâce à Néhémie, un homme de foi. Quand il n’avait pas laisser passer son émotion forte envers la ville, il put être grandement utilisé pour la grande œuvre de Dieu.  

Le monde aujourd’hui est marqué par l’individualisme et l’indifférence devint une culture de la société. Mais la vie égoïste n’amène nulle part. Sa fin est tragique, car elle participera à la même sort que ce fameux riche dans la parabole de riche et Lazare. Quand ce pauvre infirme est dorloté dans le sein du Seigneur, le riche souffre dans la flamme ardente. Mais la vie sacrificielle qui se donne pour le Seigneur et pour les autres a une grande valeur, en contribuant non seulement au salut du monde, mais au salut de la propre vie.  

Résumons la leçon précédente en 4 parties: les larmes de Néhémie, la ronde humble du début de Néhémie, le commencement des travaux comme un seul corps, l’empêchement de l’ennemi. Dans la troisième partie, nous avons appris 4 clés du succès chez Néhémie, dont les deux sont l’attitude des gens, et les autres deux l‘attitude du leader. En tant que leader du pays, nous avons lieu d’apprendre ces clés: chacun à son coin (chacun doit être fidèle à la tâche confiée), tous ensemble (l’individualité doit être complété par la collaboration étroite comme des maillons liés), puis  quant à Néhémie, énumération de tous les collaborateurs, puis l’appréciation des travaux de ces personnes. Le verset 13 du chapitre 3 dit ainsi, “Hanoun et les habitants de Zanoah réparèrent la porte de la Vallée. Ils la bâtirent et en fixèrent les battants, les verrous et les barres. Ils firent, de plus mille coudées de la muraille jusqu’à la porte du Fumier.” L’esprit de volontarisme pour ce groupe de travailleur était remarquable. Les prochains travailleurs ne font que la réparation d’une porte, en bâtissant et en fixant les battants, les verrous et les barres, mais Néhémie l’apprécia quand même.  

Hier, un des membres des familles des ouailles m’a téléphoné en disant, ”qu’est-ce que vous faites? Quelle est votre doctrine? Etc.” J’ai dit, “nous faisons l’étude de la Bible, et notre doctrine est l’obéissance.” Quand nous faisons ces deux choses, nous pouvons construire la muraille de la ville détruite par le rationalisme, l’humanisme, l’hédonisme et le matérialisme. Un frère a décidé de vivre autonomement sans aide de la famille, pour garder sa foi en Dieu. Un autre frère a suivi son exemple, en disant adieu à sa mère. J’étais étonné d’entendre d’un frère qui a décidé de se couper de la tendance charnelle de ce monde, si catégoriquement. Mais là où il y a l’œuvre de Dieu, il y a l’œuvre de Satan. Les gens du monde viennent pour attaquer l’œuvre de la foi bâties pars les ouailles de Dieu. Celles-ci sont vraiment héros de Dieu, tandis que ceux-là qui s’effarent de leurs propres travaux pour leur compte sont comme des pions à la marche funéraire vers la place qui est la leur: la flamme de feu comme celle de l’homme riche. Donc, faisons l’étude de la Bible et pratiquons l’obéissance dans la vie. Ca vaut à la construction de la gigantesque muraille de Jérusalem. Dieu est avec nous, et si Dieu est avec nous qui sera contre nous. Nous serons plus que vainqueur par celui qui nous a aimé.  

A vrai dire, sans défier la muraille de l’incrédulité et l’impiété de ce monde, on ne pourra pas construire la muraille de la foi. Le choc premier qui vient à notre esprit quand nous étudions cette deuxième leçon des 5 à 8eme chapitres de Néhémie, est que ces travaux si lourds se terminèrent en 52 jours. Certains disent qu’il s’agit des brèches seulement, mais il est évident que la muraille est en ruine totale, sinon le cri de Néhémie, “quel malheur nous sommes! Jérusalem est détruite, ses portes sont brûlées, etc.” n’a pas de justification. Vraiment la ruine était totale, mais de cette ruine surgit une muraille standing invincible. Cela en 52 jours seulement. D’où est le secret de cette rapidité? Nous le verrons. Deuxième choc de cette leçon est la joie éclatant du peuple achevant les travaux. Vous vous dites, “c’est normal, à cause du sentiment d’accomplissement.” Mais les choses ne sont pas si évidents que cela. Nous le verrons. En tout cas, nous aurons plus de temps dans le corps de message d’étudier ce sujet qui est un sujet très important, non seulement pour les croyants, mais pour tous les êtres humains sur la terre, car la vie sur la terre est une succession des peines. Si vous étiez entrés avec un mine triste de diverses raisons, je souhaite que le Saint-Esprit vous touche pendant le message, afin que la flamme de joie vous soit envoyé et vous brûle, si bien que quand vous sortez de cette maison, votre mine soit aussi braillant que le soleil. Sachez que si ce souhait n’est pas réalisé, c’est une partie à la responsabilité de celui qui se tient ici, le pasteur, dont la préparation du message n’est pas de bonne qualité. Donc, veuille faire un bon geste, ayant aux bouches des sourires les uns envers autres et en partant de cette salle, et si vous avez un peu de sourire restante, n’hésitez pas de l’envoyer envers moi.  

I. Un problème de conflit surgit au milieu du peuple (Ch 5) 

Premièrement, les gens du peuple se plaignirent. Le chapitre 5 commence par un petit hiatus du sein de la communauté. En un mot, c’est une plainte des gens du peuples avec leurs femmes se plaignirent des Juifs, leurs frères. Les premiers étaient les gens pauvres et les deuxièmes les riches. Ce phénomène est banal, et là où il y a la communauté d’homme, il y a ce genre de manifestation. Il est donc quelque chose d’inévitable dans le monde et la société. Et ces choses arrivent aussi même dans la communauté des croyants, sans faute. Au bout de compte, si nous analysons, nous pouvons comprendre que la plainte des pauvres a la raison d’être. Elle peut être justifiée. En sachant la réalité, Néhémie en vient à réparer la situation. Mais en fin de compte, qu’apprenons-nous? D’abord, malgré cette hiatus, Néhémie put prendre en main la situation et en calmant le jeu, conduire les travaux à l’achèvement en 52 jours. Donc, il n’y a pas plus grande preuve que cela que Néhémie était un remarquable leader et administrateur auprès du peuple. Ensuite, nous apprenons que les pauvres ont gagné en quelque sorte le procès, mais ils n’ont pas vraiment gagné le procès - il faut le retenir - car ils avaient accusé leurs compatriotes. Pourquoi? Parce qu’on est tout au milieu de grands travaux de la construction de muraille, ce genre de plainte ne peut avoir une justification quelconque, et ce même si leur réclamation a tout à fait justifiable. Les gens disent, “porter plainte sans hésiter”. Oui, c’est la culture occidentale de porter plainte au moment opportun avec le bon moyen. Mais le point de vue des croyants qui doit être adopté ne doit pas être concordant à ce point de vue du monde.  
Si nous lisons cette partie, vous et moi et presque tous les êtres humains sommes tentés d’admirer Néhémie, et d’acquiescer sa justice, sa méthode, et voilà le résultat formidable de la mise en ordre de toute la communauté et l’achèvement de courte durée de la muraille. Mais si nous voyons de près en entrant le noyau de l’histoire, nous ne sommes pas amenés à admirer autant Néhémie. Autrefois, quand nous avons appris le livre d’Esdras, le leader Zorobabel qui avait conduit le premier retour de la captivité en Babylone, en 539 av. Jésus, nous avons trouvé que chez cet excellent leader, il s’est trouvé un défaut, car il voulut bâtir l’autel d’abord à Jérusalem en convonquant toute l’assemblée, alors que c’était le 7e mois, la fête des huttes où il devait commémorer la libération de l’Egypte. De la même manière, ici, Néhémie reprocha sévèrement les riches qui étaient injustes, accapareurs, enfin désobéissant à Dieu, et cela en public, et en grand assemblée. Ici, Néhémie était juste et son action tout à fait justifiable. Mais nous trouvons qu’il a pallié ce problème de la façon légaliste. Et cela est la façon de Dieu à l’époque. Tous ceux qui avaient violés la loi de Dieu sont digne d’être jugé et condamné par le jugement, ne serait-ce que par une énorme amande.  

Mais si Néhémie était dans l’ère de nouveau testament, l’ère du Christ, il ne devrait pas être accueilli, ni justifié. Le critère moral des chrétiens n’est pas basé sur la loi, mais sur le Christ qui est l’accomplissement de la loi. Donc, Paul dit aux chrétiens de Thessalonique, “En toute circonstance, rendez grâces; car telle est à votre égard la volonté de Dieu en Christ-Jésus.” Le combat des chrétiens n’est pas pour le redressement de la justice morale, mais la croissance du royaume de Dieu. Or, malheureusement, beaucoup de chrétiens d’aujourd’hui, se battent pour établir la justice sociale. Il y a plus de 20 ans déjà, je connais un pasteur qui se leva au milieu d’une conférence des chrétiens qui avait eu lieu au temple d’Orléans, pour dire que le critère des chrétiens n’est pas le droit de l’homme, mais le royaume de Dieu, mais il fut rejeté par le pasteur de ce temple. Les protestants orgueilleux de la France pensaient que le droit de l’homme en France et dans le monde était grâce à leur lutte du passé. Ils ne connaissent rien de la volonté de Dieu. C’était seulement la roue de l’histoire que le souverain Dieu conduit selon sa volonté, et les protestants n’étaient qu’un des instruments. Et ce droit n’était pas si important que l’homme pense, car aux yeux de Dieu, c’est le royaume de Dieu qui compte. 

Qu’est-ce qui compte vraiment à ce moment de Néhémie. C’était la construction de la muraille. Cela ressemble à la construction du royaume de Dieu. Comment une plainte à l‘ordre économique peut-elle surgir? Les riches étaient-ils si impitoyables qu’ils négligeaient les besoins et les souffrances de leurs frères? Les pauvres sont venus à ce moment si important, pour verser leur plainte et accusations contre leur frères Juifs devant les religieux et les magistrats et Néhémie lui-même. L’analyse des théologiens et savants est juste, car Néhémie a bien résolu ce problème avec une ferme résolution et la réprimande envers les riches, jusqu’à ce qu’ils jurent devant l’assemblée et toute injustice fut réparée. Mais du point de vue du Christ, cela n’était pas une façon convenable et juste. Car plutôt qu’aux riches, c’est plutôt aux pauvres que Néhémie aurait tourné ses reproches à ce moment si important.  

Un exemple est la parole de Néhémie du verset 8. “Nous avons racheté selon nos moyens nos frères, les Juifs, vendus aux païens; vous vendriez vous-mêmes vos frères, et c’est à nous qu’ils seraient vendus! Ils se turent, ne trouvant rien à répondre.” Ici est révélé, que dans le passé, quand les captifs furent retournés, ils tentèrent de racheter les Juifs, leurs compatriotes, qui avaient été vendus aux païens. Donc, que peut-on dire? Maintenant, ils sont rachetés et libérés, et au pire de cas, ils sont devenus les esclaves de leur propre peuple. Mais en tant que même peuple, cela ne sera pas le même traitement, ceux qui ont été vendus n’auraient pas été traité comme esclaves, mais quand même n’est-ce pas le même peuple? Donc, il n’y a rien à se plaindre. Alors dans le verset 1, ces pauvres vinrent pour porter une grande plainte contre leurs frères, les Juifs.  

Certains disent et peuvent interpréter que les riches se turent, car ils avaient violé la loi et y avaient désobéi. C’est vrai car prêter à l’intérêt était interdit par la loi de Moïse. Mais Néhémie a laissé du côté ce péché de plainte venu du manque de remerciement des pauvres. Il en est de même de la derière partie du chapitre où Néhémie fait ressortir son action de probité du point de vue économique et matérielle. Cela est compréhensible, comme l’analyse de certains serviteurs, car Néhémie voulut reprocher à l’égoïsme par son propre exemple. Mais cela était possible car Néhémie était un homme de l’Ancien Testament. L’homme de l’Ancien Testament doit être se corriger de cette façon, mais l’homme du Nouveau Testament, ne se laissera jamais corriger de cette façon.  

Quand nous avons l’injustice sociale, quand nous voyons l’indiscipline, quand nous voyons la méchanceté de l‘homme en général, le mauvais comportement des incrédules en général, le premier reflexe ou réaction de chez nous est de cet ordre néhémien. Mais nous devons retenir que Néhémie est un exemple de l’Ancien Testament. Quant à l’homme nouveau c’est-à-dire l’homme du Nouveau Testament, l’homme du Christ, le peuple du Christ, le critère est différent. Plus que ceux qui commettent l‘injustice social, plus que ceux qui sont méchants moralement, plus que ceux qui vivent comme incrédules, diaboliquement, ceux qui ont oublié la grâce, ceux qui se plaignent tout le temps, sont plus condamnables.  Le peuple de Jésus doit avoir comme critère ce qui est dans la parabole de poutre et paille. Ôtez d’abord la poutre dans ton oeil, alors tu verras la paille dans l’oeil de tes frères.” Le mot plainte peut se trouver dans l’Ancient Dictionnaire, mais dans le Nouveau Dictionnaire, il doit s’effacer complètement.  
Mais Néhémie est Néhémie, étudions Néhémie continuellement, car nous trouvons en lui un homme de foi, et aux yeux de Dieu, la foi est la chose la plus importante. En sommes, Néhémie appartient au monde ancien, Jésus dit que Jean-Baptiste est le plus grands parmi les prophètes, mais l’enfant du Christ est plus grand que Jean, si du monde, cet enfant que nous sommes suit la grâce du Christ. Il s’est sacrifié sur la croix pour nous, donc ne perdons jamais cette grâce en nous. En toute circonstance, rendez grâce, car telle est à votre égard, la volonté de Dieu en Christ-Jésus.   

Deuxièmement, la vie exemplaire de Néhémie. Même si Néhémie était un prophète, il était aussi un homme faillible, comme nous l’avons remarqué à tout à l’heure. Mais il était un homme exemplaire dans sa vie. Il était digne d’être nommé conscience de sa société. Les versets 14 à 19 du ch 5 peut nous intriguer, car ils sont incohérents du point de vue chronologique. Néhémie n’était pas encore établi comme gouverneur du pays. Mais ici, l’auteur, ne serait-ce que par confusion dans sa pensée lors de son écriture ultérieure, voulut avancer sa vie exemplaire d’humilité et d’intégrité. La vie exemplaire d’un homme a une grande influence. La prospérité d’un pays dépend largement de l’intégrité de son chef. On dit que la raison de la réussite économique de Taïwan était l’intégrité de son ancien président Chang Kaeseok de qui on ne trouvait qu’une petite hutte couverte de chaume comme son héritage. Un politicien d’aujourd’hui se disait propre comme une monnaie neuve quand sa vie luxueuse devint flagrante.  
              
II. Pourquoi l’ouvrage serait-il interrompu ? (Ch6) 

Premièrement, la volt face des ennemis. Les tactiques des ennemis de Dieu révélés dans le chapitre précédent étaient deux choses : se moquer et se liguer. Mais cette fois, ils firent une volte face en s’adoucissant comme agneau. Le moment est à la dernière phase de la construction. Toutes les brèches furent bouchées et il ne restait que de mettre les battants des portes. A ce moment, Sanballat proposa à Néhémie de venir vers lui pour avoir une entrevue. En sachant que toute la possibilité de l’attaque fut disparue, les ennemis pointèrent leur assaut  sur le chef de file pour l’éliminer. S’ils réussissent, les travaux seront naturellement interrompus. Nous trouvons par la proposition des ennemis, quelques traits supplémentaires sur les méthodes que Satan emploie. D’abord, Satan choisit un endroit. Ono, l’endroit proposé de rendez-vous dans le verset 2 signifie “neutre” géographiquement au milieu entre Samarie et Judée. Il représente un endroit secret loin de la communauté. Il peut être dans un bar, dans la rue ou dans la chambre, en tout cas loin de l’endroit public. Nous connaissons le duel entre David et Goliath, devant tout le peuple. Mais ce genre d’entrevue est s’offrir une cause de diffamation, car personne n’a vu le fait, donc la rumeur une fois montée risque de se propager favorablement. Mais Néhémie discerna l’intention des ennemis et leur donna la réponse la plus adéquate. « Je leur envoyai des messagers avec cette réponse : J’ai un grand ouvrage à exécuter et je ne puis descendre : pourquoi l’ouvrage serai-il interrompu pendant que je le quitterais pour descendre vers vous ? » 

            Ici, nous entrevoyons la priorité de Néhémie. Pour lui, les travaux ne devront pas être interrompu par quelle cause que ce soit. La préoccupation principale de Néhémie était l’ouvrage de Dieu sans interruption. Il dit, « nous avons un grand ouvrage. » Son esprit était constamment occupé par cet ouvrage, si bien que tant qu’il ne soit pas terminé, il ne peut ni dormir, ni manger. Souvenons-nous de ses derniers mots de la leçon précédente, “Et nous ne quittons point de nos vêtements, ni moi, ni mes frères, ni mes jeunes serviteurs, …" Mais ici nous apprenons un fait important, c’est qu’au milieu de cette attaque acharnée Satan, Néhémie aussi aurait dû être sans défense, tant l’attaque était insidieuse et minutieuse. Mais cette philosophie ou ligne de conduite de Néhémie l’aurait sauvé de cette malignité meurtrière de Satan. Nous, en tant que l’homme, sommes si vulnérable, qu’à tout moment nous sommes exposés aux tentations de Satan et succombons. Pour ainsi dire, nous ne sommes pas des êtres si crédibles. Donc, nous succombons quand le diable enjambe. Mais si nous adoptons une ligne de conduite ou une philosophie digne de Dieu, nous pouvons être défendable de toute azimut de Satan dans nos vies. La philosophie de Néhémie se résume, “je ne quittera pas l’ouvrage tant qu’il ne sera pas terminé.” Il s’agit de son ferme engagement. Combien de fois à cause de notre esprit dispersé et confus, notre ouvrage est-il interrompu ? Imaginez qu’un homme a plusieurs amants, comment peut-il se concentrer à une personne ? Son esprit manifestera sans tarder une déchirure. Donc, la concentration est une clé importante de la vie. Nous avons étudié des maillons d’hommes associatives qui rendaient fort la communauté, chacun se voyant réussir dans son travail. Donc, associez-vous autant que possible dans vos occasions. Ne vous séparez-vous pas des autres. C’est le premier pas d’engagement. Puis dans la vie personnelle, vous devez vous purifier ou dégager de toutes les choses inutiles et superflues loin du point central auquel vous voulez réussir. Est-ce que vous pensez toute la semaine en ayant dans votre esprit le culte d’adoration à votre Dieu au dimanche. Je vous incite à participer à ce mouvement de CCU appelé « ouvrage sans interruption », en commençant par la répéttion de 1000 fois de 200 personnes. L’ouvrage de Dieu que nous lançons doit se faire 24 h/24 et 7j/7. L’œuvre de Satan est de rendre flou notre point. La photo qui n’a pas de bonne mise au point ne sert à rien. Il sait la puissance de notre concentration ou notre intérêt focalisé. Elle est si grande comme cet élève qui se débarrasse du téléphone portable en vue d’obtenir TB de cette année. Elle est comme ce faisceau lumineux qui se focalise pour brûler un papier. Satan vient sans cesse dans nos pensées pour rendre flou notre point. Néhémie ne se laissa pas troubler par la tentation de Satan.   

            En voyant l’inébranlable attitude de Néhémie, Sanballat changea sa tactique. Sanballat envoya une lettre ouverte et elle contient les mots très vulgaires. L’ouverture de cette lettre constituait une menace, car quiconque prend cette lettre peut la lire, en laissant une rumeur se répandre. Elle parla du complot pour le renversement autour de Néhémie envers le royaume persan. Elle cita un certain homme influant, appelé Gachmou, pour donner plus de poids à la lettre. Mais Néhémie était inébranlable, malgré la menace qui inspirait la peur. Il dit, « Ce genre de rumeurs dont tu parles n’existe pas, c’est toi qui les inventes ! » Satan incite toujours les gens à diffamer les autres en insufflant leur faiblesse. Son but est de discréditer les gens. Une fois écouté cette parole, le cœur de l’homme se fragilise. La muraille de la foi se détruit. Il vaut mieux de couper court dès le début, ce qui est fait par Néhémie.   

            En face de la menace de l’ennemi, Néhémie vint sans cesse se trouver devant Dieu. La tentation de Satan a pour but de rendre craintif. Néhémie aurait pu avoir peur. Mais il n’avait pas peur, car il savait que Dieu grand et redoutable le protège. Il ne se creuse pas la tête pour résoudre la situation par son intelligence. Il ne s’enflamme pas de son vouloir de vengeance sur les ennemis. Mais il alla vers Dieu pour prier. Ainsi dans le verset 8, il dit, « Tous ces gens voulaient nous rendre craintifs et se disaient : Ils perdront courage et l’ouvrage ne se fera pas. Maintenant ô Dieu fortifie-moi ! » Il expose l’intention des ennemis devant Dieu et étendit sa main vers lui pour obtenir son secours. Le blâme sans raison est une chose la plus difficile à supporter. Mais Néhémie remporta la victoire par la prière. Puis quand un serviteur soudoyé lui proposa de fuir pour se réfugier dans le temple, son humilité le sauva. En effet, il sut que le laïc qu’il était n’avait pas de droit d’y pénétrer. Il dit, « Un homme comme moi prendre la fuite ! » Il pensait qu’il n’était rien. Il continue « Quel homme tel que moi pourrait entrer dans le temple et vivre ? » Par l’humilité, Néhémie eut discernement et enfin comprit que c’était le mensonge de Satan.    

             L’humilité contribue aussi à repousser la peur et à avoir la paix. Néhémie continue de prier, en disant, « Souviens-toi, ô mon Dieu, de Tobiya, de Sanballat et de leurs œuvres, et aussi de Noadia, la prophétesse, et des autres prophètes qui cherchaient à me rendre craintif. » La peur n’est pas un mouvement psychologique comme les gens pensent, mais c’est par Satan. Satan utilisait ces hommes pour que la peur s’empare de lui. Après avoir reconnu ce fait, Néhémie alla à Dieu en mettant sa confiance en lui. Dieu lui donna la grande paix. Je suis très encouragé récemment par la lutte de certains membres. Je vois que chacun est si faible qu’ils sembleraient être des roseaux. Chacun confesse une inlassable peur devant l’obstacle difficile. Pour certain, c’était l’avenir, pour certain c’était l’étude, et pour certain, c’était sa nature pécheresse. Mais chacun est venu à la parole pour y creuser la force. Dieu bénit abondamment leur intérieur, afin qu’ils s’enhardissent contre leur crainte et s’affermissent dans la foi. Leur force c’est leur sincérité de cœur qui se repent devant la parole. La sincérité humaine semble être un grand point aux yeux des hommes. Mais un petit cœur repentant est beaucoup plus grand que la sincérité humaine aux yeux de Dieu. Si l’homme n’obtient pas la paix de Dieu, la vie humaine ne serait qu’un cauchemar. C’est la raison pour laquelle nous devons être assez humbles pour accepter la parole de Dieu chaque semaine et se repentir. Ca fait peur les déboires des prêtres ces jours-ci : 1000 victimes pédophiles en Philadélphie, pendant 40 dernières années, et 14500 victimes en Irlande depuis 2002 donc à peine 15 ans. Mais ce n’est pas seulement la peur de nous, hommes ordinaires, mais ce doit être aussi la peur chef de l’église romaine, “souverain poncif” qui visite en ce moment ce dernier pays. D’où sa déclaration, ce fléau comme “la cuture de la mort.” L’ancien poncif dit selon son habitude, « n’aies pas peur. » Mais comment ? Personne n’est délivré de la peur sans avoir obtenu la relation d’amour avec Dieu. Cette relation vient de l’obéissance humble à la parole de Dieu. D’où notre combat de Tesporka chaque semaine.  

Deuxièmement, la muraille s’achève. Regardons le verset 15. La muraille fut achevée le 25 du moins d’Eloul. Donc, en 52 jours, la muraille fut achevée. Cette rapidité était remarquable, et c’était le résultat de la parfaite collaboration du peuple de Juda. Surtout, si nous analysons ce fait, nous nous apercevons que le secret de la réussite était l’obéissance des gens. Néhémie obéit à l’ordre de Dieu et le peuple obéit à l’ordre du serviteur et s’engageait corps et âme. Ainsi ils se mouvaient comme d’un seul corps et le travail avança avec la vitesse du TGV atlantique. Je souhaite que vous n’oubliiez pas que l’obéissance et l’engagement sont la locomotive de la puissante œuvre de Dieu et elle est le secret de la réussite.  

III. La joie de l’Eternel est votre force (Ch 7-8) 

Premièrement, Néhémie établit les serviteurs du temple au prime abord. Regardez le verset 1 du chapitre 7. « Lorsque la muraille fut rebâtie et que j’eus fixé les battants des portes, on établit dans leurs fonctions les portiers, les chantres et les Lévites. » Quand l’ouvrage fut terminé, Néhémie aurait pu avoir beaucoup de diverses tâches à assumer. Mais il établit des hommes au prime abord. Sans les hommes, l’œuvre de Dieu est impensable. Dieu suscite toujours les hommes avant qu’il fasse une grande œuvre. Or, si nous voyons les sortes d’hommes que Néhémie avait établies, nous entrevoyons la priorité de Néhémie. D’abord, Néhémie établit les serviteurs du culte. Les gardiens de la porte du temple, les membres de chœur qui sont les chantres et les chanteuses, puis les Lévites qui sont les serviteurs du culte par leurs dons musicaux. Néhémie vit l’importance du culte et désignaient dans leurs fonctions les serviteurs de la musique. La France est un pays d’art plastique. Mais elle a besoin d’apprendre aussi l’art musical pour qu’elle devienne le royaume de sacrificateurs. En général, chacun porte sa propre Bible. Mais en général, chacun ne porte pas son propre recueil de cantique. Si nous connaissons les cantiques par cœur, nous pouvons rendre un culte personnel à n’importe quel lieu où nous soyons. Quand Dietrich Bonhoeffer connaissait beaucoup de cantiques appris dans sa jeunesse, il put offrir son adoration même pendant son emprisonnement dans la prison de nazi. Je prie que nos chœurs ne soient pas habituels, mais à chaque culte, ils soient renouvelés pleinement comme une explosion de notre adoration pour Dieu. Quand les ennemis tendaient un guet-apens, Néhémie aurait pu avoir beaucoup d’inquiétude. Mais ce qu’il fit, c’est établir les serviteurs de la musique et fit retentir les cantiques spirituels au sein du temple. Quand la musique de Dieu retentit dans nos cœurs, nous pouvons surmonter toutes les situations tristes et accablantes par elle. Préparons notre K-Pasteur.  

Deuxièmement, Néhémie établit l’homme excellent en fidélité et crainte de Dieu. Regardons le verset 2. Puis, Néhémie mit à cœur de prendre garde des ennemis qui sont toujours présents autour d’eux, d’où le besoin du vrai homme de confiance qui put superviser. Hanani était ce frère qui avait rapporté à Néhémie quand celui-ci était dans Suze au sujet du lamentable état de la muraille. Lors de sa nomination, il est décrit comme un homme supérieur à beaucoup par sa fidélité et par sa crainte de Dieu. Hanania signifie l’Eternel a été miséricordieux. Il était un homme qui comprenait qu’un des plus grands caractères de Dieu est la fidélité. Cette fidélité se manifestait dans sa miséricorde inchangeable malgré les multiples péchés du passé de son peuple. Hébreux 13 :8 dit de Jésus qu’il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. La Bible dit que la plus grande qualité demandée à l’administrateur est la fidélité. Celui qui comprend Dieu miséricordieux apprend de lui sa fidélité. Elle est aussi la qualité pour être enseignant de la Bible comme dit 2Ti 2 :2, « Et ce que tu as entendu de moi en présence de beaucoup de témoins, confie-le à des hommes fidèles, qui soient capables de l’enseigner aussi à d’autres. »  

             Hanania était aussi un homme supérieur par sa crainte de Dieu. Que signifie la crainte de Dieu ? Il est évident qu’elle ne signifie pas d’avoir beaucoup de peur de Dieu et d’être frileux à chaque mot de Dieu. Avoir la crainte de Dieu est plutôt le respect immanquable envers Dieu. Cette crainte donne beaucoup de joie au peuple. Je vous donne un exemple. Il y a un enfant qui aime son père. Plutôt il adore son père, car son père est vraiment magnifique à ses yeux. Non seulement (parce) qu’il a les œufs dans les muscles des bras, mais aussi (parce qu’il est) si débonnaires et sages. Cet enfant savait que son père l’aime beaucoup. Il voulait recevoir ses caresses. Mais il a de la  crainte à son égard pour ne pas dire des mots légères et frivoles selon ses sentiments devant lui. S’il est prudent dans ses comportements, ce n’est pas à cause de la peur, mais à cause de sa crainte digne. Il y avait un enfant qui était élevé comme un bon enfant dans la famille moyenne en Corée, mais un jour il a commis une grave faute dont la blessure restait dans son cœur assez longtemps, car il s’était fâché contre son père dans la présence d’un de ses proches adultes. Quand nous rencontrons Dieu personnellement, nous commençons à apprendre la crainte de Dieu. Nous commençons à maîtriser notre nature coupable pour sanctifier le nom de Dieu dans nos vies. Ainsi, la crainte de Dieu se définit comme la priorité de Dieu dans nos vies. Dt 6 :5 dit, « Tu aimeras ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. » Mt 6 :33 dit aussi, « Cherchez premièrement son royaume et sa justice et tout cela vous sera donné par-dessus. » Si nous mettons Dieu avant nos sentiments humains, c’est la marque de la crainte de Dieu. Si nous cherchons la parole de Dieu avant nos propres désirs, c’est aussi la marque de la crainte de Dieu.  

Troisièmement, Néhémie eut la vision par sa construction. 7 :4 dit, « La ville était spacieuse et grande, mais peu peuplée, et les maisons n’étaient pas bâties. » Ici, nous trouvons la vision et la foi de Néhémie. Si on voit 11 :1, comme Jérusalem avait si peu d’habitant, on était obligé de tirer au sort pour qu’une personne sur dix vienne s’y établir. Quand les gens retournèrent de la captivité, ils auraient pu avoir le cœur assez rétréci à cause de leur situation et leur blessure du passé. Mais Néhémie, dans sa construction, ne fit pas de ménagement. Il ne calcula pas le nombre d’habitants pour mesurer la taille de la ville. Il construisit la ville sainte en tant que telle auparavant en croyant que Dieu la remplira par sa puissance. Il établit le plan de cent ans à venir, sans tenir compte de l’état actuel. Cette partie nous rappelle Esaïe 54 :2,3 qui disent, « Elargis l’espace de ta tente”. Néhémie eut cette vision que même si la ville était déserte, elle sera animée un jour par les garçons et les filles qui sauteraient et danserait de la joie qui vient de l’Eternel. Je remercie que Dieu nous a donné les années précédentes, le centre de Bagneux et de Nanterre. Le peuple sans vision périt, dit la Bible. Que Dieu nous accorde sa grande vision pour servir cette génération ! 

Quatrièmement, le sacrifice du peuple. Déjà dans le verset 4 nous voyons quel sacrifice fit le peuple dans la construction de la ville. Il ne s’inquiétait pas de leur propre maison, mais il la laissa non bâtie, mais se consacra à l’ouvrage de la muraille. Avec la sagesse de Dieu, Néhémie fit le recensement du peuple. On compta au total 42 mille personnes environs parmi les déportés de retours. Ils étaient les protagonistes dans l’histoire de Dieu qui servaient la volonté de la restauration du peuple. Néhémie voulut laisser la trace de l’histoire par ce recensement. Quand il fit ce recensement, le peuple apportait beaucoup d’argent pour les travaux. Quel était leur sacrifice ? Regardez le verset 69. Plusieurs des chefs de famille firent des dons pour les travaux. Le gouverneur qui n’est autre que Néhémie était le premier à faire des dons, alors les chefs de familles les suivirent. Ils firent 20000 drachmes d’or qui correspond à 30 millions d’euros et 2200 mines d’argent. Le reste du peuple firent les dons de presque la même quantité d’or et d’argent. Ils sont comme nos jeunes qui sacrifient leur modique revenu entier pour l’œuvre de Dieu.  

Cinquièmement, la joie de l’Eternel est votre force. Après l’achèvement de la muraille, les sacrificateurs et les Lévites et tout le peuple s’installèrent dans leurs villes. Alors le septième mois arriva. Tout le peuple s’assembla comme un seul homme sur la place qui est devant la porte des Eaux. Ils dirent à Esdras, le scribe d’apporter le livre de la loi de Moïse. Le peuple ayant l’aspect d’un seul homme, eut la soif ardente d’entendre la parole de Dieu. Il ne veut pas jouir de la vie paisible mais à ce mois que la tradition leur dit significatif (il) voulait entendre ardemment la parole de Dieu. Esdras lut le livre depuis le matin jusqu’au milieu du jour en présence de la grande foule. Quand Esdras lut la Bible sur l’estrade et bénit l’Eternel, le peuple répondit, en levant les mains : Amen ! amen ! Puis ils s’inclinèrent et se prosternèrent devant l’Eternel, la face contre terre. Alors Josué, BaniChérébia, et d’autres enseignants de la Bible se dispersèrent pour faire comprendre le sens de la loi au peuple. L’étude en sous groupe ainsi faite était efficace, le peuple se mit à comprendre le sens de la parole de Dieu. Quand il entendit la parole et son explication, il comprit que la captivité en Babylone qu’il avait subi avait une raison divine ; le peuple rebelle aurait eu besoin de la divine discipline. Il reconnut comme Néhémie qui se repentit au début de son livre, c’était à cause du péché de sa famille et de lui-même et se mit à pleurer. Il voulait être vraiment pardonné de leur péché commis qui était comme le cramoisi.  

             Néhémie et Esdras et autre Lévites leur dit, « Ce jour est consacré à l’Eternel, votre Dieu ; ne soyez pas dans le deuil et dans les pleurs ! » Esdras dit encore, « Allez, mangez des viandes grasses, buvez des liqueurs douces et envoyez des parts à ceux qui n’ont rien de prêt, car ce jour est consacré à notre Seigneur ; ne vous affligez pas, car la joie de l’Eternel est votre force. » Il nous semble que c’est plutôt opportun que les leaders consolent et proclament le pardon au peuple qui se lamente et pleure. Mais au contraire, ils l’empêchèrent de pleurer. Pourquoi ? Il y avait deux raisons apparentes. D’abord, c’était le septième mois. Le septième mois est le mois de Pâques pour Israël. Il a un grand sens, car à ces mois, Dieu des cieux avait délivré ses ancêtres de l’esclavage du Pharaon. Ensuite et surtout, c’était parce qu’il s’agissait du jour de la consécration. Les Lévites dirent : Taisez-vous, car ce jour est saint, ne vous affligez pas !” Il y a le moment où on doit s’affliger et pleurer, et il y a le moment où on doit s’égayer et se réjouir.  

              Ici, il me semble judicieux de réfléchir plus profondément sur la joie de l’Eternel. Pourquoi la joie de l’Eternel est-elle la force pour ceux qui croient en lui ? La joie de l’Eternel est différente de la joie du monde dont la Bible dit éphémère. La Bible dit fréquemment de la joie. Jean parle de la joie qui sera complète quand les disciples demeurent dans la parole de Dieu qui les fera porter beaucoup de fruits agréables. Luc parle de la joie de Dieu qui est semblable à ce berger qui laisse 99 brebis dans la plaine ouverte pour partir à la recherche d’une brebis perdue et en la trouvant, la met sur son épaule et de retour, invita tous les habitants du village pour s’égayer avec lui. Paul parle de la joie débordante quand il mentionna les chrétiens de Macédoine qui malgré leur pauvreté matérielle exprimèrent leur magnanimité dans la collecte en faveur de l’église de Jérusalem. De même que l’engagement à l’ouvrage avait sauvé Néhémie de la tentation de l’ennemie, la vie consacrée et engagée entièrement nous sauve de la faiblesse. Satan est en guet-apens, pour nous affaiblir par tout moyen. Nous avons beau de sourire tout le temps pour être joyeux. La tristesse ne nous lâchera pas. Mais notre vie engagée et consacrée de tout cœur nous sauve de notre tristesse de la vie et nous fait goûter de la joie du ciel. David fut entouré des ennemis. Mais il consacré sa vie à Dieu entièrement. Dans sa vie fugitive accablante, la raison pour laquelle il ne s’absorbait pas de la tristesse, c’était justement son engagement total. Psaume 18: 47, “Vive l’Eternel et béni soit mon rocher! Que le Dieu de mon salut soit exalté.” Puis, après avoir dit, “C’est Dieu qui me ceint de force.” continue de chanter, “Tu m’élèves au-dessus de mes adversaires, .. C’est pourquoi je te célébrerai parmi les nations, ô Eternel.” Que Dieu vous donne beaucoup de joie par votre vie dévouée. Que Dieu nous aide à construire la muraille de la foi surtout par l’obéissance absolue à Dieu.  

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