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mercredi 28 octobre 2020

Nombres 21:1-23:30(PQ 29/10/2020)

Nombres 21:1-23:30

Verset clé: 21:8

(Lisez 21:1-9 et 23:18-24)

 

Le serpent de Moïse 


 

    Moïse passa au désert 40 ans pour conduire les Israélites vers la terre de la promesse. Ces histoires du peuple de Dieu nous montrent combien l’être humain est fragile à cause du péché et combien la main salutaire de Dieu nous est indispensable. 

 

1.    Quiconque le contemplera, conservera la vie (21:1-9)

 

Dans la première partie du passage, Israël manquait de remerciement envers Dieu, malgré la victoire accordée par la prière. En chemin, ils devinrent très plaintifs. Ils commencèrent à se plaindre de Dieu et de Moïse, en disant que la manne du ciel est un pain méprisable. Alors l’Eternel envoya contre le peuple les serpents brûlants. Il mourut beaucoup de gens. Ensuite, l’Eternel ordonna à Moïse de fabriquer un serpent brûlant et de le placer en haut de la perche. L’Eternel dit “quiconque aura été mordu et le contemplera, conservera la vie.” L’homme ne peut pas se sauver par ses propres moyens. Au lieu de courir pour fuir des serpents brûlants, il fallait lever la tête et regarder le serpent de Moïse, par la foi. Seuls ceux qui écoutent la voix de l’Eternel et suivent son instruction peuvent conserver la vie, malgré leurs péchés.

 

2.        Balaam bénit le peuple de Dieu (22 :1-23:30)

 

Lorsque les Israélites avancèrent dans le chemin, les pays voisins eurent beaucoup de peur. Balaq, le roi du Moab, appela Balaam pour qu’il maudisse le peuple d’Israël. Balaam consulta l’Eternel et sut qu’Israël était un peuple béni tel un lion. Malgré l’impatience de Balaq, Balaam ne put s’empêcher de bénir Israël.

Pourtant, Balam fut aveuglé par un salaire injuste et ne vit pas ce que vit son ânesse. Plus fondamentalement, c'est l'Éternel qui bénit le camp d'Israël au travers d’un homme païen, Balaam. Nous remercions notre père qui nous a bénis parmi les nations sur la terre. 

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