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mercredi 22 novembre 2017

Exode 4 :1-31 (PQ de 24/11/2017)

MOISE ACCCEPTA ENFIN L’APPEL
Verset Clé 4 : 18
La propre justice se relie avec la propre injustice. Moïse se sentit injuste, car Dieu l’avait abandonné. Mais c’était sa propre justice qui s’était ancrée profondément en lui. Enfin, il dut y renoncer.    
1. Ah, envoie qui tu voudras (1-17)  
Malgré beaucoup d’arguments de Dieu pour lui, Moïse insista sur son incapacité. Il avança le prétexte qu’Israël ne le croirait pas. Dieu lui accorda deux dons miraculeux (3,6). Il lui concéda donc la puissance divine. Mais le doute saisit encore Moïse. Cette fois, il argumenta sur son incapacité linguistique. Son mutisme et langue pesante ne le favoriseront pas l’œuvre de Dieu. Dieu est le maître de la langue. Mais Moïse ne se laissa pas persuader. Alors Dieu concéda en lui attachant son frère Aaron, dont la langue était facile. Il sera le porte-parole de Moïse. Dieu est le maître de la langue. Mais chacun a son point fort. Moïse était plutôt un type de seul à seul, mais Aaron était un type d’évangélisme massif avec son éloquence. Mais Dieu mit l’ordre en disant que Moïse sera à la place de Dieu.  
2. Moïse retourna en Egypte (18-31)

Moïse s’en alla et fit congé de son beau-père qui accepta sans réserve son départ. Il part avec sa femme et son enfant qui n’était pas circoncis. Sa femme vit le danger de son mari et discerna quel est le problème. Maintenant, c’est la frontière au-delà de laquelle elle sera une Hébreu. Quand Guerchom fut circoncis, Moïse fut sauvé. Partant pour sauver le peuple, il devait avoir l’identité claire s’encrant dans la coutume. Dieu donna les paroles à dire à Pharaon à Moïse. Israël est son premier-né. Il faut qu’il le laisse partir pour qu’il le serve. Nous sommes libéré de nos péchés pour qu’en tant que premier-né nous le servions. Aaron monta à la rencontre de Moïse et quand on se vit, on s’en réjouit. Puis, ils s’en allèrent ensemble pour dire aux anciens d’Israël. Israël en voyant les miracles, et surtout en écoutant le discours d’Aaron, il en vient à croire à ce qu’ils disaient : que l’Eternel Dieu, Dieu de leurs ancêtres avait été apparu à Moïse. Surtout, il se sentit que Dieu l’aimait encore, en ne l’abandonnant pas. Il avait vu leur misère. Emu de la reconnaissance, les Hébreux se prosternèrent. Notre Dieu est le Dieu fidèle et il n’oublie jamais son peuple, sa souffrance, et vint le sauver sans faute.

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