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mercredi 29 novembre 2017

Exode 9 :1-35 (PQ de 30/11/2017)

3 PLAIES EN MALADIE ET CATASTROPHE
Verset Clé 9 : 3
Dieu envoya 5e à 6e plaies d’ordre de maladie et 7e plaie d’ordre catastrophe naturelle. Le cœur du Pharaon resta inchangé.  
1. La plaie de la peste du bétail (9 :1-7)  
Dieu poussa Moïse à défier le roi de nouveau. Dieu envoya la peste pour s’attaquer aux animaux des champs d’Egypte. Toujours il y eut la démarcation entre le camp d’Egypte et celui d’Israël. Cette fois, c’est Eternel lui-même qui fixa le délai de la décision du roi avant d’envoyer la plaie. Pharaon s’informa du dégât de la plaie, et constata la démarcation, malgré quoi il ne s’avisa pas de changer.  
2. La plaie des ulcères (9 :8-12)
Dieu envoya la plaie des ulcères cette fois, comme le roi continuait de ne pas écouter. Dieu dit à Moïse de prendre de la poussière et jeter en air, afin qu’elle devienne des ulcères sur les hommes et les animaux. Les magiciens, loin de pouvoir imiter Moïse, ne purent même se tenir devant le roi, car ils eurent de la démangeaison de leurs peaux. Comme Dieu avait dit, ce n’était pas le Pharaon qui endurcit son cœur, mais c’était Dieu qui l’endurcit. Les serviteurs ne devaient pas se décourager, mais se souvenir ce que Dieu avait prédit, c’est-à-dire la parole de Dieu. En cas d’endurcissement d’un cœur, nous sommes enclin de penser à Satan qui l’instigue, mais c’est de Dieu que cela vient plus fondamentalement. Donc, rien à nous inquiéter. Ce que Satan fait, c’est d’implanter la peur de mourir ou échouer, et nous affaiblir. Nous ne pouvons nous affermir que sur la promesse (prédiction) de Dieu. 
3. La plaie de la grêle (9 :13-35)  

Dieu dit qu’au milieu des plaies, il avait laissé la vie du Pharaon. C’est lui qui est le propriétaire de toutes les vies. Il aurait pu disparaître en un clin d’œil. Il le laisse subsister afin que le monde voie et glorifie son nom (16). Dieu fit pleuvoir du ciel de la grêle mêlé avec le feu pour détruire tout. Pendant un jour, il y eu le choix. Ceux qui se laissèrent prévenir purent se défendre, mais les négligeant subirent le dégât énorme. Cette fois le Pharaon dit « j’ai péché ». Mais c’était un sentiment de regret et pas plus, ce qui le fit durcir encore. Moïse dit que le roi ne changera pas. Mais il intercéda.

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