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mercredi 1 novembre 2017

Marc 4 : 26-34 (PQ de 2/11/2017)


LA PARABOLE DU GRAIN DE MOUTARDE

Verset Clé 4 : 31

Jésus parle de deux paraboles supplémentaires pour expliquer à quoi ressemble le royaume de Dieu : celle de la semence et celle du grain de moutarde. Quoi que à l’origine elles ont le commun de l’agriculture, elles se distinguent l’une de l’autre.     

1. La parabole de la semence (26-29)  

Un homme jette la semence. Elle croit quoi que l’homme dorme ou veille. La semence grandit sans que sa croissance se fasse remarquer par l’agriculteur, comme le royaume de Dieu le fait sans que sa croissance pour l’homme en général. C’est un quasi-automatisme. Mais il faut savoir qu’il n’est pas possible d’avoir un résultat sans la main-d’œuvre humain qui doit intervenir et jouer un rôle primordial surtout au début et à la fin de la culture. Jésus dit que le royaume est non comme la semence, mais comme l’homme. Donc, le royaume de Dieu, quoi qu’il appartient à la main de Dieu, nécessite comme facteur principale la main des hommes.  

2. La parabole du grain de moutarde (20-34)

Contrairement à la parabole précédente qui accentue la méconnaissance de l’homme pour sa croissance qui est pourtant un facteur indispensable, cette parabole du grain de moutarde accentue le fait que le royaume de Dieu grandit de façon exponentielle. Donc, Jésus dit qu’il est semblable à un grain, non à l’homme. Le royaume de Dieu a une puissance intrinsèque de la croissance. Le début est marqué par sa petitesse, car il est le plus petit. Mais à travers sa croissance remarquable, il en vient à la fin qui incommensurable, car il est le plus grand. L’œuvre de l’évangile se caractérise ainsi car Jésus est né dans l’étable, mais après qu’il est ressuscité, il attira tout l’homme e la terre vers lui. Il y a une énorme du royaume de Dieu qui s’est installé par sa mort et sa résurrection. Il était comme un grain qui tomba et mourut, après quoi il se propagea en cent, ensuite chacun en autre cent, ainsi de suite. La mort du grain se réfère au travail inlassable par le renoncement. De la sorte, les blés se développant l’an en l’an, jusqu’à ce qu’ils couvrent toute la terre. Si nous avons la foi, et nous la mettons en pratique, nous pouvons voir grandir ainsi le royaume de Dieu si extraordinairement.

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