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lundi 13 novembre 2017

Marc 8 : 1-10 (PQ de 15/11/2017)

JESUS NOURRIT QUATRE MILLE
Verset Clé 8 : 9
Jésus avait nourrit 5 milles avec 5 pains et 2 poissons. De nouveau la foule se réunit. Jésus les nourrit de nouveau. Moins spectaculaire peut-être, mais toujours avec le même cœur.      
1. J’ai compassion de cette foule (1-3)  
Autour de Jésus se réunit toujours la foule qui fut pendue à sa langue, car ils se réjouissaient d’écouter la parole de Dieu. Quand ils l’écoutaient, il y avait toujours la je ne sais quel sentiment de fraicheur qui adoucit le cœur qui peinaient dans le monde. Cette fois aussi, une foule nombreuse fut réunie et on ne ressentait pas que le temps passait. Alors le ventre commença à grouiller. Par rapport au premier miracle de multiplication de pains, cette fois, Jésus s’adressa d’abord aux disciples pour exprimer son cœur devant eux. C’était une sorte de témoignage chez le maître qui était très émouvant. Ils y restaient trois jours pour écouter la parole, mais ils n’avaient pas mangé. Si on les renvoie ils auront faim et risquerait de défaillir sur le chemin. Cela suffisait pour toucher les disciples et de plus ils avaient déjà une expérience similaire pour apprendre comment faire. Mais leur question révèle combien ils avaient encore le doute sur la puissance de Jésus. Ils ne fixèrent pas sur sa toute puissance, mais sur la circonstance. Ils eurent encore besoin de l’entrainement. Mais Jésus était patient à leur égard.    
2. Ils étaient 4000 (4-10)

En faisant peu de cas de leur doute en raison de leur circonstance,  Jésus demanda simplement combien ils avaient. Cela veut dire que Jésus voulait que les disciples apportent à lui tout simplement ce qu’ils auraient repéré. Ils répondirent sept. Autrefois c’était 5 pains d’orge d’un enfant. Mais cette fois, ils auraient apporté ou acheté quelques pains pour les Douze et leur maître. Donc, un peu d’augmentation de l’approvisionnement. Mais aux yeux des hommes, c’était toujours un pauvre inventaire et raison de tomber dans le fatalisme et impuissance. Mais avec cet inventaire minable, Jésus en vint à nourrir 4000. Il nourrit la multitude, en le bénissant. Si nous apprenons le cœur de berger inchangeable de Jésus et d’obéir à son ordre d’aller répertorier ce que nous avons, Dieu nous bénit et utilise notre apport pour nourrir la foule.  

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