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mercredi 8 novembre 2017

Marc 6 : 45-56 (PQ de 10/11/2017)

C’EST MOI, N’AYEZ PAS PEUR
Verset Clé 6 : 50b
Jésus entraina les siens pour le cœur de berger précédemment. Maintenant Jésus les entraîne pour le courage. Pour l’homme, le courage prime tout et primordial pour l’œuvre de Dieu comme nous le voyons dans les Actes.    
1. Jésus marcha sur l’eau (45-52)  
Jésus obligea les disciples d’aller partir seul sans lui vers l’autre rive. Pendant la navigation, la tempête frappa la mer de plein fouet et leur barque était en danger, au bord du naufrage. Déjà ils avaient ce genre d’expérience du bateau, mais ils eurent toujours peur. Ils auraient s’excuser de l’absence de Jésus, cette fois, mais ils avaient toujours ce problème de peur inhérent. Pendant ce temps, Jésus montra sur la montagne pour prier, selon sa coutume. Il chercha ainsi la volonté de Dieu pour la prochaine étape. Jésus au milieu de la nuit, vint en marchant sur l’eau et voulut les dépasser, c’est-à-dire qu’il passait assez proche d’eux. En le voyant, ils l’auraient reconnu et accueilli. Mais en le voyant, les disciples poussèrent du cri, car ils pensaient que c’était un fantôme. Mais Jésus leur dit, « C’est moi, n’ayez pas peur. » Qui est Jésus, il est Dieu Créateur, maitrisant le poids de la gravitation. Ils ne le purent voir. Le diable inspire toujours la peur. Alors l’homme perd le discernement et la vision. La peur et l’incrédulité – Marc commente que c’était parce qu’ils n’avaient pas compris le miracle des pains – nous rend aveugles pour ne pas voir Dieu Tout-puissant.
2. La puissance de guérison de Jésus (53-56)

Quand Jésus fut débarqué, beaucoup de gens, le reconnaissant,  vinrent auprès de lui pour être guéris. Ils ramassaient beaucoup de malades dans toute la région pour les faire venir vers Jésus et être guéris. Les malades souhaitaient seulement toucher la frange du vêtement de Jésus, car ils avaient entendu que la puissance de Jésus était si grande. Ils auraient entendu peut-être comment la femme de perte de sang depuis 12 ans fut guérie par un simple toucher de la frange de derrière. Alors, tous ceux qui touchèrent la frange bénéficièrent de la puissance de guérison de Jésus. Ils auraient eu la foi en Jésus, comme l’avait la femme de perte de 12 ans. Si nous croyons en Jésus, la maladie s’en va et la santé vient.  

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