QUE
PEUVENT ME FAIRE LES HOMMES ?
Verset Clé 56 : 5
Le psalmiste gémit nuit et jour à cause de la traque des ennemis
(1Sa 21 :11-15). Les Gathiens
firent la guerre sans cause, en le blâmant. Mais à ce moment, il se confia en
l’Eternel et il loua la parole de Dieu. C’était son seul refuge et le recours
valable.
1. Fais-moi grâce. (1-7)
David appela à la pitié de Dieu (2). La larme lancinante de
l’ennemi était la langue. Celle-ci était comme une poison, une vipère. Ils
blâmaient sans scrupule les innocents. Ils se complotaient pour tuer David. Mais
il encadrait l’aveu de
crainte qui fait place progressivement à la confiance (v. 4-5). L’être humain,
faible au plan physique autant qu’au plan moral, trouve une aide en Dieu qui
est fort, qui a la vie et l’éternité. Il pose un acte de foi parfaite en la
parole de Dieu. Sa parole mérite louange (v. 5a). La « parole » : c’est la
promesse faite par Dieu de protéger et de défendre son fidèle, comme le
rappelle le Ps 119 : 41 : « Que m’adviennent tes grâces, Yahvé, ton salut,
selon tes paroles ! » et 119 : 65 : « Tu as fait du bien à ton serviteur,
Yahvé, selon ta parole ». Au profond de l’angoisse, le psalmiste découvre que
celui qui se confie en Dieu n’a rien à craindre des agissements humains.
2. O Dieu, je veux accomplir mes vœux (8-14)
Le psalmiste
crie O Dieu. Il voulut vraiment accomplir ses vœux devant Dieu qu’il avait fait
autrefois (13). Mais il fallait l’aide pour cela (v. 8-9), car la situation
était vraiment hostile. Le psalmiste exprime « ses larmes » comme sa fragilité
humaine, sachant que ses malheurs étaient pris en compte. Puisque la bonté de
Dieu se manifestait en faveur des démunis qu’il délivrait certainement, le
psalmiste va louer la parole divine de salut. L’épreuve et la souffrance avaient
conduisit le psalmiste à la certitude de foi qui engendrait sa confiance et
l’entraînait à s’en remettre tout entier à Dieu. Devant le danger et le
harcèlement par ses ennemis, le psalmiste a recours à Dieu, l’implore et, étant
fortifié par la parole, il s’abandonna à Yahvé. Le suppliant entrevoit une
perspective de victoire et l’effondrement du mal, ici nommé « les peuples » (v.
8b), puis « la mort » (v. 14a) et s’engage à la gratitude envers Dieu (v. 13b).
La Parole d'aujourd'hui m'aide à voir quelle doit être mon attitude face aux difficultés de la vie. Quand David devait affronter les ennemis qui l'entouraient, il n'a ni perdu espoir ni relâché sa confiance en Dieu. Bien au contraire, il a cherché désespérément le soutien de Dieu afin de pouvoir le servir davantage selon les paroles qu'il avait pronocées devant sa face. Le désir de David est si ardent que cela le pousse à pleurer parce qu'il veut le faire mais il reconnait qu'il n'en est pas capable. Il décide alors de s'appuyer sur Dieu et de lui faire confiance.
RépondreSupprimerPersonnellement, je n'ai pas autant de problèmes et de dangers que David. Néanmoins, je suis régulièrement entouré par des pensées humaines et charnelles de par mon entourage de par moi-même. Ces pensées rendent la vie difficile parce que je sais qu'il faut garder mon intérieur pur en vue de rester attaché à Dieu qui quant à lui, est saint. Mon voeu est de maintenir ma relation personnelle avec Dieu et de le servir de tout mon cœur malgré ces éléments. Étant faible, je décide de saisir la même direction qu'avait saisie David. Je décide de supplier Dieu dans la prière pour qu'il puisse me soutenir malgré ma faiblesse.
Je prie que Dieu m'aide à rester lié à lui en vue de pouvoir servir ses brebis.
Un mot : Dans la difficulté et la détresse, tourne vers Dieu.
12. O Dieu! je dois accomplir les voeux que je t'ai faits; Je t'offrirai des actions de grâces, des sacrifices de reconnaissance
RépondreSupprimer13. Car tu as délivré mon âme de la mort, Tu as garanti mes pieds de la chute, Afin que je marche devant Toi, à la lumière des vivants.
Ce passage décrit aussi bien le cœur des christiens qui sont sauvés par la grâce de Jésus. Dieu m’a délivré de la mort et de la main du prince du monde tourné vers la destruction. Dieu m’a préparé le sentiers et m’a conduit dans une église fidèle à lui qui m’aide à grandir dans les paroles de Dieu, afin que je marche devant l’éternel, à la lumière du Christ et des disciples. Seigneur, je veux vraiment t’offrir une sacrifice spirituelle, une brebis perdue, la conduire vers toi, car tu m’a tant aimé et j’en suis tellement reconnaissante. Mais je vois maintenant que le combat spirituel est vraiment plus difficile que le combat dans ce monde. Dans ce monde physique, je ne manquerai rien en seigneur; mais dans le monde spirituel, l’ennemie travaille si diligemment et si fort pour empêcher l’levure de salut. J’avais prié de tout mon coeur pour servir une brebis suite à l’évènement d’éveilc à Paris 8, mais je suis toujours stérile, et en voyant que nombreuses brebis qui ont promis de venir n’ont tous des empêchements au dernier moment et que le nombre de participant n’a pas atteint la multitude de notre prière, je me suis attristée.. Seigneur, je me repens de mon sentiment négatif qui s’est fait influencé par le circonstance défavorable momentané. Je prie de mettre entière confiance en toi, croire à ta parole et à ta promesse, semer avec larmes, patienter au jour de récolte avec paix et confiance, sachant que l’oeuvre tu as commencé sur cette terre de Saint-Denis, tu vas certainement le faire pousser, grandir et prospérer. Je dois faire confiance au semence qui pousse selon ta parole et ta promesse et persévérer avec un coeur d’allégresse et de confiance. Un mots, offre des sacrifices de reconnaissance au seigneur avec patience et confiance.
La parole de ce matin m'a appris à me confier en Dieu et louer sa Parole.
RépondreSupprimerce matin, je me suis levée à l'heure, mais avec un fort mépris pour la Parole. une pensée traversait mon cœur : regarde toit même et ta vie, quel pitoyable paysage. j'avais envie de me recoucher tout court. Ce mépris me pressait très fort.
je me forçais alors à fixer ma pensée sur le verset clé et les titres avec les sous titres. J'ai accepté que c'était ennemi de ma foi qui cherche à me faire abandonner la Parole. Je me suis appuyée sur le verset clé pour résister au mauvais esprit. Puis je me rappelai mon verset clé de l'année Jacques 1:6 qui m'était donnée pour que j'apprenne la sagesse par le combat et le verset clé de la semaine sur la crainte de Joseph et sa sensibilité pour garder son chemin devant DIeu. le mauvais esprit est partie et j'ai pu remercier le Seigneur pour son secours. Pourtant, je m'aperçois combien il me manque la louange envers sa Parole, car je ne me sauve pas moi même, mais la Parole de Dieu, manifestée en Christ.
que je puisse m'appuyer sur sa Parole, aujourd'hui et louer le Seigneur par un chant adéquat.
que DIeu m'aide à garder mes voeux d'enfant et de jeunesse.
un mot : je me confie en sa Parole et la loue. Que peuvent me faire des hommes?