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mercredi 19 septembre 2018

Actes 12 : 12-25 (PQ de 20/9/2à18)

RHODE
Verset Clé 12 : 13
La sortie de Pierre de la prison était la une du journal de Jérusalem. Elle provoqua deux grandes vagues bien opposées au sein de la ville : la joie et la terreur.             
1. Emportée par la joie (12-17)
Pierre réfléchit un moment, et il alla vers la maison de Marie. C’était la maison de Jean Marc qui était parent de Barnabas et deviendrait un moment le collaborateur de Paul. Pierre eut la relation avec Marc qui deviendra son secrétaire plus tard. Il y eut dans cette maison une servante appelée Rhode, et quand elle vit Pierre frapper la porte, elle le laissa dehors dans le danger pour aller signaler les gens. Elle manquait la sagesse, mais c’était à cause de sa joie irrésistible. Alors les gens la considéraient comme folle, et dirent que s’il en était ainsi, ce serait son ange. Ils ne crurent pas à ses dires, même s’ils avaient prié jour et nuit. Au moment de l’exaucement, ils le doutaient. Comme il est difficile pour l’homme de croire jusqu’au bout ! Dieu exauce quand même sa prière, malgré la faiblesse de son corps, ce qui était une expression de sa magnanimité inaltérable. D’où notre légitimité pour nous de lui rendre sans cesse nos actions de grâce. Leur joie de voir Pierre était indescriptible. Pierre n’y resta pas mais se mouvait, car le prix était mis sur sa tête. Mais il disparaît depuis cette dernière scène dans la Bible. Le ministère de Dieu se déplaça vers Paul.  
2. Emporté par la colère (18-25)

Hérode exécuta les soldats qui avaient manqué leur devoir. Hérode ne tenait point compte de situation atténuante. Après, il partit en paix  en vacances. Les païens de la région venaient pour négocier avec lui, car il avait le pouvoir. En effet, il avait sur le dos le fiston de Rome avec de largue source attribué par celui-ci. Mais quand les gens firent l’éloge de son trône, son orgueil toucha le ciel, si bien qu’il tomba sur place et mourut par les vers de terre. Son trône ne valait pas mieux qu’un bout de papier. C’est la conséquence de l’orgueil de l’homme devant Dieu.

1 commentaire:

  1. Cette Parole nous raconte l'histoire de Rhode et de Hérode. Rhode était une servante excédée par ses émotions au point que quand elle a vu Pierre, elle a appelé les autres au lieu de lui ouvrir la porte. Elle n'a pas pu contrôler ses sentiments et elle a mal agi. De plus, les autres souffraient de l'incrédulité et donc Pierre est resté dehors pendant un temps certain. Je me retrouve facilement dans cette femme parce que je suis, moi aussi, une personne sentimentale. Par exemple, hier en cours l'un de mes camarades a pris la place de mon ami qui était normalement assis à côté de moi et donc j'avais le cœur rancunier envers lui. J'attendais le moment où il partirait mais il ne s'est pas déplacé tout au long de la journée. Je ne pouvais pas contrôler ni la colère que je ressentais à son égard ni la jalousie que j'avais envers la personne assise à côté de mon ami. Cependant, je décide d'amener ces problèmes de coeur à Dieu ce matin et de lui demander de les ôter de mon cœur. Je confesse que je suis comme Rhode et que je suis incapable de maîtriser mes sentiments. Ainsi, je dépose ma honte devant la croix de Jésus en le suppliant de m'en laver. Je reconnais que ces sentiments proviennent d'un certain amour propre car dans cette histoire c'est moi qui figure au centre. Toutefois, l'exemple du roi Hérode me montre clairement ce qui arrive quand on se positionne au-dessus de Dieu. Je me repens de la recherche de ma gloire humaine et de mon orgueil. J'amène à Dieu mon cœur misérable qui voulait avoir de la reconnaissance hier pour une bonne réponse que j'ai donnée en cours. Je déclare que pour toutes les connaissances que j'ai acquises, Dieu me les a apprises. C'est Dieu qui m'a donné l'intelligence dont je suis doté aujourd'hui. Je rends la gloire à Dieu car c'est à lui qu'elle appartient. En un mot : Amène à Dieu mon sentimentalisme et mon orgueil afin d'en être totalement délivré.

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