Verset Clé 2 : 15b
Selon la
divine volonté, Vasthi fut détrônée en étant révolté à l’ordre du roi. La
parole traite de comment Esther fit l’essor dans son statut jusqu’à la reine,
selon toujours la volonté divine.
1.
Esther obtint la faveur (1-20).
Selon
le conseil des princes, le roi Assuérus aura la nouvelle reine parmi les filles
des perses. Esther fut conduite au palais et demeura au harem, car elle avait
une très grande beauté. Elle était une vierge qui était orpheline de père et de
mère. Donc, son parent Mardochée l’avait adoptée et éduquée. Sa beauté sûrement
l’avait fait choisir par le palais. Mais elle était une femme très gracieuse et
sa grâce vint non de sa beauté, mais de son intérieur mûr. Elle était une femme
très obéissante. Elle obéit en tout point à l’ordre de Mardochée, quoi que
celui-ci fût son cousin. Elle acceptait son autorité et lui obéit. Ainsi, elle
ne révéla pas son identité ni origine en tant que juive. Par la soumission, elle
put se préserver d’un risque de s’enorgueillir quand sa montée était vertigineuse.
D’entrefaites, elle obtint d’abord la faveur de l’eunuque principal et enfin la
faveur du roi. Elle dépendait de Dieu, non des cosmétiques ou d’autres outils
ornementaux. C’est le secret des femmes pour la vraie beauté.
2.
Mardochée (21-23)
Mardochée
était le deuxième personnage de ce livre. Il apparait comme l’ombre d’Esther
tout au long du livre. Il arpentait dans le palais pour savoir comment elle se
comportait. Car sans l’a fait révéler son origine,
Mardochée veillait à ce qu’elle se comporte comme élu de Dieu. Après l’élection
d’Esther comme reine, Mardochée fut embauché comme concierge royal. Dieu utilisa
ce poste afin que le complot contre le roi fût dévoilé. Son nom fut marqué dans
le registre du palais mais il fut vite oublié, mais cela en attendant le jour
où il jouerait en sa faveur. Il sera un grand secours pour son peuple en
danger. Mardochée était un homme très sage et circonspecte, pouvant observer
tous les mouvements des tous les hommes du palais. Il était un prototype de bon
intendant qui protège le roi du malin en même temps de bon berger pour sa
cousine qui risquait d’être tenté par l’ascension et perdre l’esprit.
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