Rechercher dans ce blog

dimanche 8 septembre 2019

Job 10:1-22 (PQ de 9/9/2019)

LA SOUVERAINETÉ DE DIEU DANS LA SOUFFRANCE
Verset Clé 10 : 8
Sans arbitre pour lui venir en aide, Job en appelle directement à Dieu. Au milieu de la souffrance profonde, Job essaie de pénétrer le mystère de l'antagonisme du Seigneur à son égard. Il tient à son innocence. Mais pourquoi le Créateur agit-il ainsi?         
1. L’acte de révéler la gloire de Dieu (1-13)
Job dresse de plusieurs suppositions de Dieu: rentabilité, myopie divine, les jours limités pour le procès, mais malgré elles, il ne relâche pas sa conviction que Dieu doit le connaître comme un homme intègre. Puis, malgré au milieu des souffrances, Job hausse la majesté de Dieu Créateur. En effet, le livre de Job décrit en prose comment Dieu Créateur a façonné l’homme. Dieu a créé l’homme comme le potier traite de l’argile dans sa fabrication. Il dit que l’homme est créé comme si le lait s’coule et le fromage se caille. De plus, il a tissé la peau, la chair et l’os et le nerf. Il a accordé la vie et la bienveillance et prodigué ses soins pour que le souffle soit conservé. Le livre de Job traite de la souffrance de Job, mais il décrit lyriquement la création soigneuse de Dieu et sa souveraineté indéniable pour l’homme. Au milieu de la souffrance atroce, Job ne se plaint pas, hausse la souveraineté de Dieu Créateur et révèle la gloire divine, comme son expression de foi.     
2. Quand Dieu paraît sévère,…  (14-22)
Job se lamente du fait que ce Dieu qui l’a créé, non seulement exerce une punition impitoyable quand on commet le péché, mais aussi même si on est innocent et juste, remplit de la honte l’homme, en sorte qu’il semble ne permettre aucune faute en l’homme et il la punit. La pesanteur de Job au milieu des souffrances le fait penser que Dieu l’avait créé uniquement pour le faire souffre et punir. Néanmoins, le livre de Job permet de remédier la méprise de l’homme sur Dieu, à travers la monologue de Job dans son intérieur, en apportant pour lui la consolation. Quand on est dans les souffrances il se peut que Dieu paraisse trop sévère. Mais au lieu de s’engouffrer dans la méprise sur Dieu, il faut que nous croyions en Dieu avec humilité et attente persévérante. Donc, comme le fit Job, réfléchissons sur notre vie s’il n’y avait pas de la méprise sur Dieu en nous en raison de nos souffrances, et confessons la foi dans la confiance en la souveraineté de Dieu dans nos vies. 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire