JOB SOUPIRE DE LA VIE VAINE COMME CELLE
D’UN SALARÉ
Verset Clé 7 : 1
Le
roi Salomon, dans sa gloire, soupira de sa vie qui est comme un éphémère. Job
en soupire dans sa peine insupportable. La vie n’est qu’un cumul des peines de
tous les jours. Mais d’où vient le secours ?
1. La
vie vaine comme les jours d’un salarié (1-11)
Job dit que la vie est fatigante comme le salarié qui
travaille en corvée et attend avec l’espoir que lui soit donné son salaire
comme récompense au coucher du soleil. Il se lamente que sa vie est de la sorte
car sa peau est pourrie et couverte des vers et de croûte terreuse et même dans
la nuit il ne peut se reposer tranquillement. Comme la vie passe si rapidement
comme la navette du tisserand, il demande à Dieu de s’occuper de lui avant
qu’il sot trop tard. Le problème de l’homme est dans la main de Dieu. Bien que
la vie qui n’expérimente pas la pitié et la miséricorde de Dieu disparaisse
vainement comme de la poussière, s’il y a le salut et l’intervention de Dieu on
retrouvera et éprouvera de la joie de la vie encore une fois.
2. Job conteste la veillée de Dieu (12-21)
Job
conteste violemment la veillée de Dieu qui le considère comme un grand monstre
marin VIP de la mer et qui le terrifie dans son lit avec la vision et le songe
et lui demande de lui donner plutôt la mort. Il demande de retirer l’intérêt
envers lui qui n’est qu’un petit misérable (16-17) et demande la raison de son
regard constant posé sur lui (17-21). Il conteste Dieu en disant pourquoi il ne
pardonne pas le péché, qui même s’il est commis, ne ferait pas trop un dommage
à un grand Dieu (20-21). Au moment où l’intérêt et l’amour de Dieu envers moi
se fait sentir par moi comme un regard de surveillance, c’est un signal rouge.
Il faut examiner l’état spirituel de moi et de nouveau réfléchir sur l’amour de
Dieu par lequel Dieu n’a même pas épargné son seul et unique Fils pour nous.
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