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mercredi 4 septembre 2019

Job 7:1-21 (PQ de 5/9/2019)

JOB SOUPIRE DE LA VIE VAINE COMME CELLE D’UN SALARÉ
Verset Clé 7 : 1
Le roi Salomon, dans sa gloire, soupira de sa vie qui est comme un éphémère. Job en soupire dans sa peine insupportable. La vie n’est qu’un cumul des peines de tous les jours. Mais d’où vient le secours ?      
1. La vie vaine comme les jours d’un salarié (1-11)
Job dit que la vie est fatigante comme le salarié qui travaille en corvée et attend avec l’espoir que lui soit donné son salaire comme récompense au coucher du soleil. Il se lamente que sa vie est de la sorte car sa peau est pourrie et couverte des vers et de croûte terreuse et même dans la nuit il ne peut se reposer tranquillement. Comme la vie passe si rapidement comme la navette du tisserand, il demande à Dieu de s’occuper de lui avant qu’il sot trop tard. Le problème de l’homme est dans la main de Dieu. Bien que la vie qui n’expérimente pas la pitié et la miséricorde de Dieu disparaisse vainement comme de la poussière, s’il y a le salut et l’intervention de Dieu on retrouvera et éprouvera de la joie de la vie encore une fois.    
2. Job conteste la veillée de Dieu (12-21)

Job conteste violemment la veillée de Dieu qui le considère comme un grand monstre marin VIP de la mer et qui le terrifie dans son lit avec la vision et le songe et lui demande de lui donner plutôt la mort. Il demande de retirer l’intérêt envers lui qui n’est qu’un petit misérable (16-17) et demande la raison de son regard constant posé sur lui (17-21). Il conteste Dieu en disant pourquoi il ne pardonne pas le péché, qui même s’il est commis, ne ferait pas trop un dommage à un grand Dieu (20-21). Au moment où l’intérêt et l’amour de Dieu envers moi se fait sentir par moi comme un regard de surveillance, c’est un signal rouge. Il faut examiner l’état spirituel de moi et de nouveau réfléchir sur l’amour de Dieu par lequel Dieu n’a même pas épargné son seul et unique Fils pour nous.

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