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lundi 2 septembre 2019

Job 3 :1-26 (PQ de 1/9/2019)

JOB SOUPIRA ET MAUDIT SA VIE
Verset Clé 3 : 1
Comment Job maudit-il le jour de sa naissance ? Comment décrit-il sa souffrance en préférant sa mort subite ? C’était vraiment une épreuve insupportable pour quiconque la reçoit. Que vous exprimerez-vous si elle tombe pour vous ?      
1. Job haît la vie  (1-12)
Job soupire en maudissant son jour de naissance. Il espère que les ténèbres contraires à la lumière de la création aurait couvert son jour de naissance (4-9). Il verse le message d’anti-création gravissisme qui déclare la nullité du monde créé devant Dieu Créateur. L’aspect de Job qui nie et résiste à toute la création, s’oppose à celui des chapitres 1 et 2. Mais devant le problème, au lieu de tirer la solution rapide ou faire la réponse habituelle telle  « prions », « repentons-nous », le cri honnête et l’expression du sentiment tel qu’il est sont le point de départ plus sein vers la vraie solution du problème.         
2. Job désire la mort  (13-26)

Job partant de la profonde angoisse et la haine de la vie, s’avance vers le désire de la mort (13-26). Tout le monde pense que la mort est le moment où toute la peine de la vie finit et visitent le repos et la paix (13-17), et il n’y a pas de l’oppression des prisonniers et tout le monde obtient la liberté et la tranquilité (18-19). Puis il pense que la terre des vivants est rempli des difficultés et des angoisses et l’ultime joie est de recevoir la mort (20-23). L’intérieur de Job où se mélangent la valeur de vie et la valeur de mort représente le processus où il accepte le sort qui lui est tombé. Le murissement de la foi et son élan commence par ce débattement pénible des ailes dans la confusion et le désordre.

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