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lundi 23 mars 2020

Esaïe 52 :1-12 (PQ du 24/03/2020)

QU'ILS SONT BEAUX, LES PIEDS DU MESSAGER DE BONNES NOUVELLES

Verset-clé : Esaïe 52 :7

Dans ce chapitre, Esaïe prophétise la restauration de Jérusalem. Ses sentinelles voient la gloire de Dieu revenir dans la ville sainte et publient haut et fort la bonne nouvelle.

1. La fin du déshonneur pour Jérusalem

Jérusalem ne sera plus foulée aux pieds par les incirconcis ni les hommes impurs. Elle ne sera plus captive. Elle se relèvera et revêtira ses habits d'apparat. Dieu la restaurera pour que son nom ne soit plus blasphémé par les païens et pour que son peuple sache qu'il accomplit ce qu'il promet.

2. Les pieds du messager de très bonnes nouvelles

Dans la situation accablante et sans espoir, entendre une bonne nouvelle est un baume pour le coeur. Les pieds du messager qui a parcouru une longue distance pour transmettre une bonne nouvelle sont sales et malodorants. Mais ils sont très beaux, car ils apportent la paix, la joie et la consolation. Les pieds de ceux qui vont prêcher la bonne nouvelle de l'Evangile aux âmes angoissées et opprimées sont les plus beaux. Toutes les nations verront le salut de Dieu. Dieu appelle le peuple d'Israël à sortir de Babylone non à la hâte comme lors de l'Exode mais avec calme, car Dieu le protège. 

1 commentaire:

  1. Cette Parole étonne un message de bonne nouvelle au milieu du peuple de Dieu. Le peuple a subi un grand châtiment à cause de leur péché et ils ont été déshonorés. Il semblait que l'espoir les avait quittés car Dieu semblait très loin d'eux. Néanmoins, Dieu ne les avait pas abandonnés mais il était toujours à leurs côtés et il voulait les restaurer maintenant. Ce message de restauration était la bonne nouvelle d'une très grande joie pour le peuple. Cette Parole me donne l'espoir selon lequel Dieu agira dans son temps pour accomplir le salut du peuple français. Il les sauvera de leurs entraves du péché et de leur attachement au monde. Me rendant compte de mon impuissance d'aider une âme, je suis devenu fataliste. Toutefois, je décide de rejeter mon désespoir et mon manque de confiance en Dieu. Je décide de retenir la promesse de Dieu et de croire en son plan salvateur comme Daniel le faisait pour son peuple. Je prie que Dieu ait pitié de ses brebis et qu'il les conduise à la repentance en vue de leur salut. Je me repens de mon incrédulité et je décide de croire en Dieu. En un mot : Me repentir et croire en le temps d'accomplissement de la Parole de Dieu.

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