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vendredi 13 avril 2018

Deutéronome 8 :1-20 (PQ de 14/4/2018)

SOUVIENS TOI DE L’ETERNEL QUI T’A ERPOUVE
Verset Clé 8 :2
Lé mémoire de l’homme est courte, mais Moïse dit aux Israélites qu’ils devraient se souvenir de ce que Dieu a fait. Nous devons nous souvenir ce que Dieu a fait pendant notre chemin de la vie. Alors nous pouvons vraiment et correctement aimer Dieu.
1. L’homme ne vivra pas de pain seulement (1-5)
Moïse dit qu’il faut se souvenir de comment Dieu a humilié le peuple. L’humiliation de 40 ans pendant le désert aurait dû être une expérience amère pour Israël. Mais ce n’est pas le cas, c’était à cause de la bonne volonté de Dieu pour Israël. Dieu donne l’entrainement à ceux qu’il aime. Sans l’entrainement, le peuple sera comme bâtards (Hé 12 :8). Dieu aimait le peuple et il les fouettait pour les discipliner. Moïse dit que c’était aussi afin d’éprouver le cœur du peuple. Le cœur de l’homme est tellement délicat, que même la personne elle-même n’en sait rien. Donc Dieu voulait savoir quel est l’état de cœur du peuple, ce qu’il y avait dedans, surtout s’il aimait Dieu en observant ses commandements. Par l’entrainement de manne, Dieu voulait enseigner au peuple comme le père enseigne à son fils une vérité importante sur la vie de l’homme.

2. Lorsque tu mangeras et te rassasieras (6-20)

L’Eternel fera entrer son peuple dans un pays découlant du lait et du miel. Il sera donc rassasié en mangeant le fruit pour lequel il n’aura pas travaillé. Il y aura abondant bétail, minéraux. Et ils ne cesseront de se multiplier. Or, à ce moment-là, le cœur des gens du peuple risquera de s’enorgueillir en oubliant la source de bénédiction qui est Dieu. Moïse dit donc qu’il se garde d’oublier Dieu et le remercier suffisamment. Il faut se souvenir du grand Dieu qui rendait possible l’Exode, le Dieu qui fit jaillir l’eau vive, le Dieu qui fit pleuvoir de la manne. Dans l’abondance, il ne faudra pas se vanter de sa force, mais s’humilier pour dire que c’est de Dieu qui vient ce salut et cette richesse. Dieu donne la prospérité pour ceux qui lui obéissent. Mais le dépérissement est au peuple qui désobéit et devient ingrat.  

1 commentaire:

  1. Merci seigneur pour cette chapitre de parole. Je me repens que je suis tellement absorbée par ta grâce chaque jour que j’oublie même de te rendre grâce pour toutes les bénédictions que tu as versé sur moi. Seigneur, je te remercie de m’avoir fait sortir de l’Égypte où j’étais esclave des désirs charnels. Seigneur, je te rends grâce depuis octobre je n’ai pas d’emploi, mais je ne n’ai jamais rien manqué en toi. Tu m’as accompagné fidèlement pendant 8 mois pour m’inspirer à écrire la thèse chaque semaine qui va de quasi-zero à 300 pages bien solides. Ces derniers jours, tu m’as rempli de l’énergie, tu m’as épargné de toutes les maladies, je puis même être guérie de la grippe en un clin d’œil et travailler pendant 27 heures en mode quisi-non stop dans ta maison. Seigneur, je te rends grâce et je te loue ! Ta bienveillance n’a pas de fin et dépasse mon pauvre imagination. Je me réjouis à toi jour et nuit car j’espère à toi. Je prie de garder ce souvenirs où ta main puissante m’a conduit fidèlement. Et que je puisse apporter ce témoignage aux futures brebis qui sont en lutte de leurs études. Je prie que je puisse me souvenir également de mes disanes fois de rejet de publication, afin de m’humilier et de m’éprouver, pour reconnaître ce qu’il avait dans mon coeur, et si j’observais tes paroles, oui ou non. Je me repens de ma fierté humaine quand j’étais persuadée que mes articles passeront, alors ils furent rejetés catégoriquement. Maintenant, dans l’humiliation que je me souvienne et dans la bénédiction que je témoigne, j’obéis aux paroles de Dieu, pour marcher dans ses voies et pour le craindre. Un mots, se souviennes et obéit.

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