L’ENTREE
TRIOMPHALE
Verset Clé 11 : 3
Cette partie s’appelle entrée triomphale de Jésus. Quoi qu’on
fasse, la façon d’entrer est un grand signe pour indiquer ce qui arriverait par
la suite. Etudions comment Jésus est entrée dans cette ville humblement, alors
qu’il est celui qui vient au nom du Seigneur. Que signifie l’entrée
triomphale ?
1.
Dites : le Seigneur en a besoin (1-3)
Jésus appela 2 de ses disciples et les commissionna pour prépare
l’entrée à Jérusalem. Leur mission était d’amener un ânon pour que Jésus puise
le monter et entrer dans la ville avec ça. C’était une épreuve de foi pour les
disciples, car ils devaient détacher un animal de somme d’un autrui, ce qui
constituait le vol. Mais Jésus dit que le propriétaire laisserait partir
l’animal quand ils diront : Le Seigneur en a besoin. Pourtant il n’en sera
pas moins difficile d’obéir à cette direction, car ils devraient détacher
l’animal comme s’ils voulaient le voler. Puis ils devaient croire que la parole
de Jésus est authentique, si bien que les gens, à la parole : Seigneur en
a besoin, laisseraient partir l’animal. En tout cas ils s’en allèrent et
expérimentèrent la foi en obéissance. Par cet événement, nous apprenons que
Jésus est souverain du monde et tout ce qui se trouve sur la terre. Puis, nous
apprenons que quoi qu’il en soit, si nous le faisons par la foi, Jésus bénit
notre entreprise. Donc, écoutons la parole de Jésus, si déraisonnable
soit-elle, Dieu bénit toujours celui qui obéit à sa parole sans condition.
2.
Hosanna, Béni soit… ! (4-10)
Quand Jésus monta sur l’ânon, les gens l’entourèrent et se
mirent à crier : Hosanna, Bénis soit celui qui vient au nom du Seigneur.
Hasanna signifie, viens nous sauver. Jésus est celui qui nous sauve. Il peut
nous sauver de nos ennemis, mais ce dont il nous sauve est le joug du péché. Il
est comme une massue qui frappe sans cesse sur notre dos. Mais quand nous
venons humblement devant lui et nous déposons nos péchés avec un cœur contrit,
il nous sauve de toute injustice et nous rend purs et sains. Autrefois nous
étions vendu au péché, mais maintenant par le sang de Jésus répandu sur la
croix, nous sommes rachetés et guéris de tous nos maladies et nous sommes
sauvés de nos péchés et nous sommes devenus héritiers du royaume de Dieu.
D’esclave de Satan, nous devenons enfants bien-aimés de Dieu. Par contre, via
la mort et la résurrection, la tête de Satan sera écrasée. D’où cette
appellation d’« entrée triomphale » pour cette partie du début de la
passion.
J’apprends ici que nous devons obéir à la parole de Dieu sans condition et sans saison. Bientôt le figuier sera maudit car il ne porte du fruit seulement dans sa saison, alors que Jésus attend de lui qui porte du fruit en toutes les saisons, surtout au moment que Seigner en a besoin! Tout comme Jésus qui nous attend à obéir à sa parole avec foi en tous les circonstances, contre la saison raisonnable, contre le jugement du monde, contre même parfois les rituels de Torah ! Rm 14:22 a dit “cete foi que tu as, garde la pour toi devant Dieu, heureux celui qui ne se condamne pas lui-meme dans ce qu’il approuve”. Un mots, notre foi devant Dieu nous justifie.
RépondreSupprimerJe me condamne souvent à cause des réactions des autres. Quand j’agis par la foi mais ensuite quand je vois que les autres ne réagissent pas comme j’attendais, je commence à douter ce que j’ai dit et ce que j’ai fait et ma foi tremble. Alors que tout ce que je dise ou fasse doit être dit et fait devant Dieu, et non devant les hommes. Heureux soit celui qui ne se condamne pas lui-meme dans ce qu’il approuve. Il faut vraiment la foi et la relation étroite avec Dieu pour y agir ainsi. Seigneur, je veux t’obeir en tous les circonstances. Mon esprit est bien disposé, ma volonté est ardente, mais ma chair reste faible... Je t’en prie, fortifie moi, rassure moi que “Seigneur en a besoin” par ton esprit saint, pour que j’agisse avec la foi devant Toi, et que je n’aie pas peur de jugement du monde, mais chercher toujours à plaire celui qui m’a enrôlé. Soit donc que je mange, soit que je bois, et quoi que je fasse, je fais tout pour la gloire de Dieu! Hosanna Jesus qui nous sauve et qui nous délivre! Bénit soit ton nom! Tu as déjà vaincu la mort et le monde! Le Victoire est déjà donné donc il n’a rien à craindre. Je veux te louer chaque jour et chaque instant ! Un mots, obéir par la foi pour la gloire de Dieu.
La Parole d'aujourd'hui nous en dit long sur la souveraineté de Jésus et sur sa capacité de nous sauver. En effet, Jésus commanda aux disciples d'aller détacher un ânon et le lui amener pour qu'il puisse entrer en Jérusalem. Néanmoins, cette action relève du vol normalement car cet ânon n'appartient pas aux disciples. Dans ce cas-là, les disciples auraient pu avoir des idées humanistes qui les auront empêché d'obéir au Seigneur. Ils n'avaient même pas un document qui les autorisait de réquisitionner cet animal ; ils n'avaient que la Parole du Seigneur. Selon cette Parole il suffirait de dire que le Seigneur en a besoin pour que les gens laissent partir l'ânon. Les disciples ont donc dû faire preuve d'une très grande foi dans la Parole de Jésus. Ils ont dû vraiment s'enraciner dans elle pour avoir l'assurance et la conviction selon lesquelles tout se passera comme Jésus l'avait dit. Ils ont dû croire absolument en le Seigneur. Cette semaine le Seigneur m'a donné une direction au niveau de la relation avec l'un de mes camarades de classe. En effet, ce camarade ne vient pas en cours parfois parce que certaines de ses matières ne l'intéressent pas trop. La formation que l'on suit n'est pas vraiment adaptée à ses attentes de réaliser des travaux pratiques. Ainsi, parfois il s'absente du cours et me demande de signer à sa place comme s'il était là. Jusqu'à maintenant je le faisais mais cette semaine le Seigneur m'en parlé en vue de me dire qu'il fallait arrêter cette pratique malhonnête. J'avais vraiment du mal à accepter cette direction et cela surtout parce que je me demandais ce que mon camarade m'aurait répondu. J'avais beaucoup de pensées humaines parce que l'on travaille ensemble sur un projet et il a déjà bien avancé alors que moi, je n'y ai pas beaucoup contribué. Néanmoins, le Seigneur m'a aidé à d'abord chercher ce qui était conforme selon lui au lieu de considérer les choses terrestres. En effet, il m'a aidé à mettre ma relation avec lui avant toutes choses en me demandant de lui faire confiance comme Jésus l'a fait auprès des disciples. Après beaucoup de prière et de lutte, j'ai reçu la force de Dieu pour être capable d'agir selon la direction qu'il m'a donnée. Je rends grâces à Dieu pour cet entraînement car il sait combien il m'est facile de suivre ce qui est convenable sans prenant une position claire et distincte des autres. Je le remercie de ce qu'il m'aide à devenir un homme qui met Dieu avant toute autre chose car de cette manière il fera de moi son serviteur. La deuxième partie de cette Parole me rappelle de la grâce de Jésus qui m'a sauvé du péché par son sang précieux. Ce sang m'a libéré de ce joug qui rendait ma vie misérable. Je prie que Dieu me purifie continuellement par ce sang afin que mon cœur soit lavé de toute impureté de la chair et des pensées humaines. J'amène mon cœur de compromis et mes pensées charnelles à Dieu en le suppliant de m'en délivrer. Je lui demande de me donner un cœur sincère et pur qui veut lui plaire. Un mot : Me purifier quotidiennement par la méditation de la Parole en vue de rester attaché à Dieu et d'être sauvé du mal.
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RépondreSupprimerMarc 11: 1-10
Faire ce que Jésus me dit de faire quoique cela paraisse irraisonnée.
V7: "Ils amenèrent l'anon à Jésus; ils posèrent leurs manteaux sur l'animal, et Jésus s'assit dessus".
Le manteau, c'est toute ma confiance et fierté. L'anon c'est la tâche que Jésus m'a appelé à faire.
Après avoir écouté des histoires de LIKE, des vols, des commerçants qui voulaient détruire, des procès et la baisse continuelle du chiffre d'affaires, je me suis demandée : c'est ce qu'il m'attend? Quand j'ai pensé à un avenir rempli de telles difficultés, je me suis découragée et j'ai perdu le désir de lancer une société.
Pourtant, Jésus en a besoin. Je dois croire malgré l'apparence que Jésus a besoin de ce projet et que mon expérience sera unique. Dieu veut écrire une nouvelle histoire avec moi. Je veux créer quelque chose de spécial qui sera une offrande d'une grande valeur devant le Seigneur. Trop souvent, quand je pense à l'avenir, j'ai peur. Je me sens esclave des organismes qui gèrent les entrepreneurs mais ce n'est qu'une fausse perception que je me suis imposée. Je dois croire que le Seigneur a vraiment besoin de cette petite société et qu'il sera avec moi jusqu'à la fin de la vie. Et même la faillite ne devra pas me faire peur car j'ai entendu le témoignage d'un missionnaire cet été dernier qui racontait comment sa société a déclaré la faillite mais que peu après Dieu avait accordé une meilleure idée pour une nouvelle société. Enfin, poser un manteau sur l'anon ou par terre en geste d'humilité et d'adoration envers le vrai roi. J'agisssais trop longtemps comme si j'avais offert quelque chose d'une valeur inestimable à Jésus. Mais je me trompe. J'offre quelque chose de peu de valeur au roi qui a donné sa vie d'une valeur inestimable afin que j'aie une espérance vivante. Ce manteau représente tout ce qui était fierté en moi et en même temps cela représente la confiance entière, car un manteau couvre et protège le corps. Je crois que Jésus peut couvrir mes erreurs dans le monde professionnel et qu'il me protégera du désespoir. Quoique ce projet paraisse parfois irraisonné, à un moment quelconque on en aura besoin, si seulement je peux rejetter la crainte et écouter avec joie la voix de Jésus.