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dimanche 4 mars 2018

Tite 1 :1-15 (M de 4/2/2018)


LES LEADERS CHRETIENS DOIVENT ENSEIGNER LA BIBLE

Tite 1 :1-15

Verset Clé 2 : 13,14

 « En attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus Christ,  qui s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres. »



Dans le chapitre 1, nous avons appris que nous devons être attachés à la parole authentique – l’évangile – et enseigner la saine doctrine et mettre en écart le groupe sectaire qui voulait faire ressortir l’obligation de la circoncision et une espèce de funambules qui racontaient les mythes juifs pour croire qu’ils étaient nécessaires pour le salut. Pour Paul, il était nécessaire d’enseigner la Bible de tout cœur et mettre en écart les hérésies et renforcer l’ordre de l’église. Ensuite, ce que Tite devait faire était d’ordonner les anciens dans beaucoup d’églises. Aujourd’hui, dans le chapitre 2, Paul exhorta Tite à enseigner les groupes variés dans l’église comment les chrétiens devaient se comporter. Les enfants de Dieu doivent agir comme les enfants de Dieu. Quand ils le font, ils peuvent rendre les enseignements du Christ attractifs. Une des raisons pour lesquelles la chrétienté se répandait dans tout Rome était que les chrétiens s’occupaient des malades pendant le temps des plaies, risquant de leur propre santé, pendant que les romains de haute classe les abandonnaient. En tout cas, quand les enfants de Dieu n’agissent pas comme enfants de Dieu, ils donnent aux ennemis les causes pour parler le mal d’eux. Un jeune gens a participé dans une réunion peu recommandable de ses collègues pour regarder ensemble un film violent. Il portait un T-shirt chrétien. Quelqu’un lui a dit, « je t’ai vu monter un spectacle chrétien » par réseaux sociaux. Il devint sans voix, donc, laissa une impression que tous les chrétiens sont hypocrites. Le comportement chrétien est une partie essentielle de nos témoignages chrétiens. Aujourd’hui, étudions comment nous conduire comme chrétiens et ce qui nous rend capable d’avoir un comportement pieux.   

Premièrement, Pour toi, dis aux vieillards la saine doctrine (1-2). D’abord, pour toi, ou « quant à toi » est une expression récurrente de Paul. Dans le monde de profonde impiété, souvent le serviteur est entouré des gens impies. A ce moment, au lieu d’être influencé, il faut prendre une position propre et indépendante vis-à-vis du monde. Quand nous n’avons pas de position claire propre, nous nous laissons aller à la dérive, sans que nous en prenions conscience. Comme l’exemple cité dans l’introduction, quand nous l’avons trouvé, nous nous apercevons que c’est trop tard. Paul, connaissant mieux que les autres ce danger, exhorte vivement les leaders chrétiens à prendre dès le premier rencontre avec les gens, une position claire, ce qui facilite la vie ci-après. Regardez le verset 1. « Pour toi, dis ce qui est conforme à la saine doctrine. » Ici, le mot en grec (laléi) signifie soit chanter soit dire. Autrefois nous avons parlé d’un des rôles de chanter est d’enseigner. Rendriez-vous compte que votre pasteur, en chantant avec sa musique, désir de vous enseigner quelque chose de lui-même. Le mot en grec signifiant proprement enseigner est didaskalia. Mais si on voit le contexte, ces deux mots ont le même sens. C’est pourquoi si on voit la traduction œcuménique de la Bible, dis est traduit « enseigne ». Paul impose donc à Tite la charge d’enseigner aux vieillards la saine doctrine en plus d’un nombre des vertus pieuses de la chrétienté. Qui sont ici les vieillards ? De règle générale, il s’agit des hommes qui ont au moins 50 ans et spécialement au-dessus de 60 ans. E.K. Simson dit, « cela se réfère aux barbes gris du troupeau. » Quand j’ai dit à mon coiffeur, que j’ai trop de cheveux blancs, il a dit, « Oh, c’est bon, c’est la mode. Ces jours-ci, les filles colorient leurs cheveux en blanc, même en bleu. » En tout cas, quand j’ai vu les cheveux de même couleur à Thierry, j’ai un sentiment assez solidaire. En tant qu’organisation de la mission des étudiants, trop de gens vieux n’est pas trop bon signe. Mais en tout cas, on ne peut faire autrement, car les gens vieillissent, et oui, c’est la vie. Or, parmi les défauts graves des vieillards, il y a celui-ci. D’habitudes, les vieillards ont des idées fixes et des habitudes fixes qui ne peuvent être changés tant qu’ils ne meurent pas. En Corée bien autrefois, il y eut un jeune homme qui a voulu changer le courant d’histoire de son pays en changeant les conditions spirituelles piteuses de son peuple. Pour ainsi dire, pour changer son peuple de l’asservissement à l’esprit de dépendance en la conquête du monde avec l’évangile, il s’engagea dans l’évangélisation des jeunes gens. Il y avait un vieil homme qui était l’ancien de l’église dont les idées et habitudes étaient inexorablement fixés. Il était justement le père du jeune serviteur. Il y avait un conflit entre père et fils. Le père voulut que son fils devienne pasteur d’une église. Son fils ne s’y intéressant guère, pensait que l’homme peut s’engager dans une mission spécifique. Il disait donc au père s’y engager en donnant l’offrande à cet œuvre bonne c’est-à-dire à lui. Mais le père avait une idée fixe qu’il doit offrir la dîme à l’église, non à l’œuvre quelconque. Chaque mois, le père vint vers son fils qui était enseignant de la Bible, pour demander, « Qu’est-ce que tu enseigne à tes gens ? » Le fils répondit, « moi, j’enseigne la Bible à mes brebis. » Le père répliqua, « Enseignes-tu à tes gens « honore tes parents ? » Le fils était d’habitudes sans voix et se sentait condamné dans un sentiment controverse de ne supporter pas proprement son père. Cette histoire continuait chaque mois pendant 15 ans. Au bout de 15 ans, fatigué, jeune serviteur fit le dernier tentative de faire un vœu à son père, « Père, si tu fais un vœu pour soutenir ma mission des jeunes gens par ta dîme, je te promets que Dieu te bénira et te rendra dix fois plus riche que maintenant. » Mais le père ne l’a jamais écouté. Cette histoire nous en dit longue que les vieillards sont d’habitudes très têtus. Ils ont les idées fixes et ne les changent jamais. Donc, si vous avez les parents chrétiens ici ou à l’étranger, pourquoi pas, comme le nom de bateau de Jean-Baptiste Charcot, leur faire vœux de soutenir la mission de CCU en France par leur dîme ! Plus les gens sont éduqués dans un pays où le légalisme est rampant, plus les gens n’ont aucune idée de changer leurs idées inexorablement fixés. Mais Paul charge Tite d’une responsabilité d’enseigner d’une manière ou d’une autre les vieillards à changer leurs idées et habitudes pour être sobres, respectables, sensés, sains dans la foi, dans l’amour, dans la patience, et cela dans le souhait que nos vieillards eux aussi se disciplinent pour grandir jusqu’à devenir des enseignants de la Bible.

Deuxièmement, les femmes âgées. Qui sont les femmes âgées ? Luther donne l’âge de 40 ans pour cet âge. Il peut être varié à notre époque moderne. Regardez le verset 3. « Dis que les femmes âgées doivent aussi avoir l’extérieur qui convient à la sainteté, n’être ni médisantes, ni asservies aux excès de vin ; qu’elles doivent donner de bonnes instructions. » Les femmes âgées, de règle générale, ne cessent de parler et elles sont dépendantes au vin, parce qu’elles ne trouvent aucune autre joie dans le monde. Les femmes âgées sont beaucoup plus difficiles d’enseigner que les vieillards. Mais Paul charge Tite de la tâche de donner de bonnes instructions (kalodidaskalus). Ces derniers mots sont étroitement liés à l’expression récurrent » dans l’épître à Tite qui est « œuvres bonnes. » (kalon ergon). Un peu plus tard, dans 3 :8 : « voilà ce qui est beau » (kala). Pour Paul, les œuvres bonnes ne sont pas l’action philanthropique, telle distribution des repas, l’accueil des démunis ou réfugiés, etc. mais l’enseignement biblique. En particulier, Paul voulut que les femmes âgées soient élevées comme enseignantes biblique dans l’espoir qu’ils pourraient entrainer les jeunes femmes à être belles épouses et mères, de sorte qu’ultimement, ils puissent devenir capables d’enseigner à leur tour, la Bible (3-5). L’espoir de Paul dans les vieillards et les femmes âgées provenait de sa foi absolue en Jésus-Christ. La foi de Paul par laquelle il met l’espoir des personnes âgées est vraiment drôle et en même temps, elle révèle inexorablement notre commandant en chef de la mission mondiale, Jésus. Cela est la stratégie de guerre spirituelle à part entière.

Comme nous le savons, les femmes sont après les hommes dans l’ordre de la création. Sans les femmes, rien ne peut arriver dans la communauté chrétienne. Quand passons en revue l’histoire, nous pouvons voir comment Dieu travaillait dans son église à travers les femmes fidèles. Nous pouvons les voir du ministère messianique terrestre de Jésus, dans les Actes des apôtres, dans l’ère des pères, dans les vies des chrétiens au temps modernes. Le rôle des femmes dans l’église, en particulier les prières des femmes dans l’église, contribuaient énormément au maintien de l’église de Dieu. Quand nous prions pour Dieu qu’il fasse le réveil de CCU de Paris de 60 participants à 120 participants au service de culte de 15 h, de 120 à 250 participants, nous avons le besoin impératif des femmes de prière. Si les femmes ne sont pas prieures, ni le soutien de l’œuvre de Dieu, leurs maris sont aussi influencés pour être paresseux et insouciants. Là où il y a un saint, il y a une mère du saint. Là où il y a un réveil, il y a les prières des femmes. Aussi longtemps que les jeunes femmes sont bonnes épouses et bonnes mères et servantes de prières, et en particulier enseignantes de la Bible, Dieu peut changer la nation. Paul prie que Tite puisse élever les femmes non comme commères, mais comme des excellentes enseignantes de la Bible. Paul prie que les femmes âgés soit fidèles dans leur rôle de mentor spirituelle auprès des jeunes femmes surtout mariées. Quant aux célibataires, elles devront retenir trois vertus importantes qui sont communes avec les mariées : sensées, chastes et bonnes. Elles doivent êtres humbles et modestes pour apprendre la doctrine saine, elles doivent garder la pureté de cœur, selon l’ordre de la création, en attendant le moment de la révélation de Dieu pour son futur mariage, en gardant le corps et l’âme proprement pour le futur mari – car le mariage selon sentiment (non par la foi) amène au malheur et à l’éventuelle rupture. Une fille a dit « je le veux » quand elle vit un beau garçon ; quelques années plus tard, quand elle le vit devenir laid, dit, « je ne le veux plus ». Elle n’est pas très chastes ; les femmes mariées dont Paul a répété les vertus sur 2/6 doivent aimer leur mari et selon le terme de Luther y compris l’acte de donner sainement le corps –, puis, les femmes célibataires doivent être bonnes dans la relation avec les autres, étant généreuses, hospitalières et toujours davantage ouvertes. A mon avis, dans la modernité, les femmes âgées peuvent donner les bonnes instructions aux jeunes gens, soit mariés soit célibataires. En tout cas, souvenons-nous de l’importance des femmes vertueuses de la prière, que Paul ne cessait de souligner, pour que l’œuvre de l’évangélisation du monde soit accomplie.

Troisièmement, les jeunes gens doivent être enseignants de la Bible. D’habitudes les jeunes gens sont très curieux sur l’esprit de rébellion du temps et la liberté humaine coupable. Ils veulent expérimenter quelque chose dans leur jeunesse qui est interdite. Une expérience mauvaise induit une autre expérience mauvaise. Par conséquent, ils deviennent comme le démoniaque Gérasénien. Un jour, un jeune homme a dit « ne me propose pas d’étudier la Bible, car je suis adorateur de Satan. » Sorti de l’Amérique, cette tendance fait nombreux jeunes français prétendre ainsi. Mais Paul avait un espoir dans les jeunes gens. Paul donna des instructions à Tite, afin qu’il leur montre la pureté et la dignité dans son enseignement jusqu’à ce que les jeunes gens rebelles puissent être influencés par la vie spirituelle de la foi de leur enseignant de la Bible. Supposons que les jeunes gens soient rebelles et égoïstes et en dérives, et que nous sommes désespéré d’eux et les ignorons, que se passe-t-il ? Le monde ne s’améliorera pas. Il s’empirera de plus en plus. Que pouvons-nous faire avec ces jeunes gens rebelles ? Nous devons leur montrer un exemple à travers notre vie spirituelle.

Comme nous avons vu, l’authentique a une force majeure qui agit dans l’âme comme un aimant. Les disciples virent que la vie authentique de Jésus, ils laissèrent tout et le suivirent. Quand la vie de David étaient selon le cœur de Dieu, d’innombrables de vaillants héros se réunirent auprès de lui. Quand une Moabite trouva que son Dieu est un Dieu authentique, elle se décida de suivre sa belle-mère étrangère sans appui jusqu’au bout. En tant qu’enseignant de la Bible, nous devons montrer aux jeunes gens notre authenticité qui est contraire au faux-semblant. Comme l’équipage de Charcot, qui disait à leur maître qui propose une itinéraire beaucoup plus difficile que l’initial, « Quand vous voudrez, où vous voudrez, tant que vous voudrez, » les gens suivront suivraient sans tarder, une fois  l’authenticité s’avère. Paule dit aux vieillards qu’ils élèvent leur authentique dans leur enseignement, en disant que vous devez être sains dans la foi, dans l’amour et dans la patience, ces trois matières étant les 3 thèmes majeurs de l’enseignant d’un chrétien. La foi authentique qui brave toutes les obstacles, l’amour authentique qui couvre multitudes des péchés des autres et la patience authentique qui supporte tout par la prière, sont des mets exquis inégalables pour l’âme. Luther donna un exemple intéressant, en disant, « les gens disent : Si Judas vient à me blesser, je n’aurais pas de problème de le supporter. Mais celui-ci, un de mes proches à qui j’ai tout donné comme faveur, ça c’est un autre problème. » C’est un amour qui n’est pas juste ni sain, dit Luther. Notre amour doit être authentique. Ces authentiques de notre foi, amour et patience, ne tarderont pas à adoucir toute sorte de mauvais esprits en les jeunes gens. C’est Tite qui est le premier à montrer cet authentique.

Quatrièmement, les esclaves doivent être remplis de la confiance, jusqu’à ce qu’ils soient reconnus comme enseignants de la Bible. Selon le principe biblique, il ne devait pas y avoir d’esclaves dans le monde. Mais au temps de Paul, il y avait 10 fois plus d’esclaves que des gens ordinaires. L’empire romain ne pouvait pas se maintenir sans la corvée écrasante des esclaves. Paul savait que de garder les esclaves était mauvais, mais il ne fit pas mention de l’amélioration des conditions d’esclaves. Par contre, Paul encouragea les esclaves à surmonter leur situation en faisant les œuvres bonnes. A l’époque, les esclaves étaient esclaves. Ils travaillaient fort devant les yeux de leurs maîtres, mais dès que leur maître disparut, ils s’assirent et s’apitoyaient d’eux-mêmes. Il n’y avait aucun bonheur ni motivation dans la vie d’un esclave. Mais Paul encouragea les esclaves à être très bons esclaves, jusqu’à ce qu’ils deviennent des esclaves dont le maître se réjouit. Paul les encouragea à ne pas contredisants, même s’ils étaient maltraités, dans l’espoir qu’ils soient digne de totale confiance et qu’ils soient utilisés comme enseignants de la Bible. Paul donna l’instruction à Tite, afin qu’il ait l’espoir en Dieu dans toutes les situations, et surmonte la situation, de sorte que l’œuvre de l’évangélisation puisse progresser jour par jour à travers tout corps du Christ.

Un pasteur que je connais avait reçu à un moment donné plusieurs missionnaires dans son pays de mission. Il vit que ses missionnaires étaient néanmoins des missionnaires de lune de miel. Donc, il voulut lui donner un petit entrainement de course. Il pensait qu’étant donné qu’ils étaient de nouveaux recrus à la mission, ils auraient accepté de persévérer une semaine au moins. Mais certains arrêtait de venir le lendemain, certains ne dépassaient pas troisième jour. Ce pasteur voulut aussi donner la leçon de comment vivre comme missionnaire laïc et employé plusieurs personnes dans son possible, mais la plupart d’entre eux considérait leur travail comme la future sécurité de la vie, au lieu de recevoir l’entrainement comme tel. Entraîner quelqu’un est plus dur que d’être entraîné, et personne ne peut entraîner quelqu’un. Seul Dieu peut entrainer quelqu’un, comme Dieu entrainait Moïse. Et très souvent, l’entrainement de Dieu est beaucoup plus dur que celui de l’homme.

Nous devons entrainer tous les hommes et n’importe quel homme afin qu’ils deviennent enseignants de la Bible. La discipline chrétienne est centrée principalement sur la croissance de l’intégrité en tant que croyant. Par exemple, une vie commune dans la tente peut y contribuer, en augmentant l’hospitalité. Ensuite vient l’entraînement comme quoi quelqu’un peut grandir jusqu’à enseigner la Bible. Cette finalité s’applique à tous les chrétiens. Pourquoi invitons-nous un tel entrainement intensif dans nos vies personnelles, en ne préférant pas une vie tranquille ? C’est parce qu’il est conforme à la volonté divine. Que ce soit un docteur, ou un simple travailleur, ou étudiant de faculté ou élève de terminal, ou un chômeur de longue durée, Dieu veut utiliser chacun de ses hommes précieusement non pour qu’ils soient ennuyés de la vie, mais pour qu’ils soient protagonistes dans son monde. Mais personne ne pourra entraîner quelqu’un d’autre, comme le cas du pasteur d’en-haut, d’autant plus qu’on vit dans le temps moderne où la liberté humaine est considéré comme un critère absolu. Que faire ? Il faut que chacun se souvienne de la grâce de Dieu dans sa vie. Regardez le verset 11. « La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. » Ce verset nous dit que la grâce de Dieu est que Dieu lui-même renonça à sa gloire, à son pouvoir, et à l’honneur du royaume de Dieu. Il s’humilia lui-même et vit parmi nous pendant quelque temps pour sauver les hommes de leurs péchés. Son apparition sur la terre est une grâce remarquable. Jean 1 :14 dit, « La Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père. » Dieu vint dans ce monde sous forme humaine et enseigna la parole de Dieu. Il nous enseigna à renoncer à l’impiété, aux désirs du monde et à vivre dans le siècle présent d’une manière sensée, juste et pieuse, en attendant la bienheureuse espérance et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ-Jésus (11-13). Regardons le verset 14. « Il s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les œuvres bonnes. » C’est la raison pour laquelle nous enseignons la parole de Dieu. Comme nous avons reçu la grâce de Dieu, nous devons la partager avec les autres.

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