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dimanche 25 mars 2018

Marc 14 : 43-52 (PQ de 26/3/2018)

JESUS FUT ARRETE
Verset Clé 14 : 49
La parole d’aujourd’hui décrit la scène d’arrestation de Jésus. Il fut faiblement arrêté par la foule d’armée. Jésus révéla entretemps que Dieu est le souverain de cet événement.           
1.     Jésus fut arrêté par la trahison de Juda (43-46)
Judas traitre se rendit aux sacrificateurs et dénonça Jésus. Les sacrificateurs, en voyant que l’un d’eux trahit, comprirent que le temps définitif était venu. Ils mobilisèrent la cohorte des romains et Juifs et les firent suivre Judas. Judas sut que l’endroit où Jésus aurait été sans faute au mont des Oliviers. Ainsi là où Jésus priait, il en vint à être arrêté. A l’endroit où nous prions est l’endroit où nous devons attendre le martyr parfois. Juda dit qu’il ferait un signal et dès qu’il embrassa Jésus, la foule s’attaqua Jésus et le saisit. Jésus fut saisi pathétiquement, en sorte que nous soyons délivrés de toutes les possessions, y compris celle de Satan. Le baiser de Judas représente l’hypocrisie flagrante d’un homme. Si provenant et conciliant soit-il, dans son intérieur il y eut un diable. Celui-ci perturba sans cesse son monde psychique, pour qu’il se déchire entre deux mondes. Finalement, il choisit le camp d’ennemi, en dénonçant Jésus. A ce moment, il fut livré à la main de Satan définitivement. La fin de son acte était tragique, selon Matthieu.
2.     Afin que les Ecritures soient accomplies (47-52)  

Un disciple dont Jean dit qu’il est Pierre tira l’épée pour couper l’oreille d’un homme. Jésus dit à la foule non le propos de sa défense, mais celui de justifie son arrestation. Pour Pierre, Jésus demanda de mettre l’épée dans la gaine. Pour cette foule, il dit que l’heure est arrivée, celle qui était retardé jusqu’à maintenant par la volonté divine. Par là nous apprenons que notre Dieu est le souverain, si bien que tous les horaires des affaires de l’homme sont dans ses mains. Nous devons l’accepter, au lieu de nous impatienter ou reporter. En voyant que Jésus n’avait aucune volonté de se défendre, tous l’abandonnèrent et prirent la fuite. L’événement décrit à la fin du récit est surement ce qui est arrivé à l’auteur, car le témoignage était dans le plus grand détail. Marc fut saisi par quelqu’un qui était surement l’un des soldats dans la foule. C’était l’occasion d’or offerte par Dieu pour qu’il soit un accompagnateur de Jésus. Mais il a malheureusement raté cette occasion. Marc était un poltron, malgré le bon cœur envers Dieu, ce qui sera révélé dans son voyage de mission avec Paul.

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