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vendredi 23 février 2018

Psaume 48 : 2-15 (PQ de 24/2/2018)

REJOUIS-TOI EN DIEU QUI EST EN SION
Verset Clé 48 :2
La scène est sur la montagne de Sion où il y avait le temple de Dieu et le nom de Dieu demeure. Les chantres sont inspirés de la louange sans cesse ici dans la maison de Dieu. Il en est de même pour nous.     
1.     L’Eternel est grand (2-4 ; 10-15)
Les premiers mots du chant sont « l’Eternel est grand. » La grandeur de Dieu est incommensurable et au-delà de toute l’imagination humaine. Il est le Créateur de tout l’univers, et par ses mots, les ondes se sont arrêté sans pouvoir traverser la frontière de la terre. Ce grand Dieu est aussi le Dieu d’Israël. Dieu a choisi ce peuple esclave et a rendu un royaume de sacrificateur et une nation sainte pour intercéder pour toutes les nations. Dieu aime la ville et fait d’elle son objet d’une affection inaltérable. Sa demeure est connu et recherché comme une haute retraite à quiconque a la souffrance. Dans la dernière partie, les psalmistes reprennent le sujet de louange. Ils invitent les habitants de la ville à faire un tour pour voir combien le site est rempli des monuments merveilleux. En le découvrant, les filles de Sion s’en réjouissent. Comme ils disent, « Parcourez Sion, » nous devons parcourir le pays où il y a pleins de monuments spirituels qui nous racontent l’histoire divine. De Marseille jusqu’à Paris,  nous ancêtres ont parcouru pour implanter la foi de l’Evangile. Le sens d’histoire est primordial pour le peuple de Dieu.     
2.     Ils étaient étonnés (5-9)  
Comme l’Eternel s’avance au son du cor ((47 :6b), les rois du monde s’avancent. Mais Les rois se complotèrent pour s’attaquer à Dieu et à son peuple. Mais leur tentative est vaine, car leur combat est déjà perdu en avance. Qui s’opposera à Dieu et à son peuple. Qui séparera son peuple de l’amour de son Dieu ? Aucun. Alors arrivant au champ de batille, ils regardent et sont stupéfaits, ne sachant pas fermer leur bouche bée. Le tremblement de terre agite fortement les couches de la terre et tous s’enfuient en étant saisi de stupeur. Leur douleur en panique est si atroce qu’elle est comparée à celle d’une femme accouchée. Ils confirment l’ouïe-dire de la puissance de Dieu et sont affermis dans la foi.   

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