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mardi 23 janvier 2018

Esaïe 7 :1-25 (24/1/2018)

DEMANDE LUI UN SIGNE
Verset Clé 7 :11
Esaïe parla d’une crise géopolitique contemporaine, et une épisode d’entretien avec le roi de Juda. Entretemps, une prophétie de la naissance du Messie fut annoncée. De 7 :1 à 12 :6 sont appelés « le livre d’Emmanuel » pendant lequel l’enfant est promis (Ch 7,8) et sa nature et son règne apparaissent (Ch 9,11) avec un arrière-plan de conflit.
1.     Demande à ta faveur un signe à l’Eternel (7 :1-17)
Environ 735 av. J.C. la situation était grave. Israël et la Syrie firent une proposition désespérée d’unir leurs voisins contre l’Assyrie qui envahissaient tout. Juda refusa de coopérer, alors ils se présentèrent en force pour remplacer son roi par l’homme de leur chois, Fils de Tabeel (6). Esaïe se présenta avec son fils (son nom signifie « le reste reviendra ») et dit « sois tranquille. Ne crains rien. » Ainsi il appela à la confiance le roi, au lieu qu’il fût dans l’intrigue et la peur. Les mots « les deux bouts de tisons » seront prouvés quelques années plus tard par leur destruction et déportation. La confiance est une nécessité pour gagner dans la défense (9). Dieu fit demander le signe au roi qui le refusa. Il sembla être humble, mais en fait il était orgueilleux. Appel à la foi est – reste – premièrement l’appel à la volonté. Ahaz n’avait aucune volonté d’avoir relation avec Dieu, car il avait conçu déjà un projet de s’allier avec l’un des plus grands pour vaincre les ennemis : l’Assyrie. Nous avons trop de cas ainsi. Dieu lui-même donna le signe. C’est la preuve de la toute-puissance de Dieu. Le nom du Messie né de la vierge est Emmanuel.    
2.     En ce jour il arrivera. (18-25)

Les deux métaphores du début présentent les troupes de soldats pillards non seulement comme une frappante et inconfortable perspective mais, clairement, come un fléau divin. Il est question ici du triste spectacle ce la Terre Promise retournant à l’état de jungle. A cause des manque des Israélites. Le peuple abondant devint un peuple parsemé, ce qui est un signe inlassable de son déclin. C’est un reproche envers une église actuelle qui se vide. Elle est en faillite en terme de la gloire et des engagements dont elle a hérité et qu’elle ne peut plus honorer.

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